PARTI DEMOCRATIQUE GABONAIS
FEDERATION D´ALLEMAGNE
NOTE D´INFORMATION AUX MILLITANTS ET SYMPATHISANTS P.D.G.
Camarades militantes et militants,
Le samedi 11 juin 2011 aura lieu à Giessen une journée sportive et récréative organisée avec la collaboration des compatriotes résidant en Allemagne. A cette occasion, les militantes et militants PDG en Allemagne vont ensemble commémorer le décès du « Président Fondateur» feu El Hadj Omar BONGO ONDIMBA.
Voici le programme complet de la journée:
12h: mot de bienvenue du camarade Régis SANGABELA, Secrétaire fédéral;
12 h15-14h:Conférence débat sur le thème: « El Hadj Omar BONGO ONDIMBA, 41 ans de paix et d´unité nationale»; débat animé par le camarade Thibault Tali Lendomba, Secrétaire de la Section Centre;
14h30: début de la rencontre de football opposant la sélections gabonaise d´Allemagne à celle des Camerounais d´Allemagne;
17h30: Barbecue et cocktails.
Les membres du bureau Fédéral ainsi que ceux de l´ensemble des sections sont priés d’apporter leur aimable contribution pour la réussite de l’événement.
Toute la cérémonie se déroulera au Campus universitaire de la ville de Giessen, sis à l´adresse suivante: Studentendorf-Wohnheim Grünberger Straße, Grünberger Straße 190 -198. D-35394 Gießen.
Pour s´y rendre prendre le bus à partir de la gare de Gießen et descendre à l´arrêt Berliner Platz. De Berliner Platz, prendre le bus numéro 1 en direction de Rödgen et descendre à l´arrêt Heyerweg, ensuite marcher environ 5 minutes.
Pour toutes informations, contacter les camarades suivants :
Johann Guenael AYO ADIBET, Délégué Fédérale UJPDG
Tel : 0176-27822027
Thibault TALI LENDOMBA, Secrétaire de la section centre
Tel : 0176-81050769
Salutations cordiales.
Le camarade Thibault TALI LENDOMBA,
Secrétaire de la Section Centre
Fait à Mannheim, le 09 juin 2011
Les
camerounais se rendront en théorie aux urnes en octobre prochain, pour
élire à la tête de leur pays un nouveau chef. À un peu moins de quatre
mois de ce rendez – vous très attendu, les tractations vont bon train
sur le terrain ; tant du côté des formations politiques que de
l’administration.
Egalement, la nouvelle institution chargée de l’organisation de ce
scrutin (ELECAM) s’attèle au quotidien à tout mettre en œuvre pour
permettre au plus grand nombre de camerounais de participer à ce
scrutin. C’est ainsi que des caravanes mobiles sont dispatchées sur tout
le territoire national dans des carrefours et autres lieux publics,
pour faciliter la tâche aux potentiels électeurs. Cependant, malgré tous
ces efforts, la participation à cette présidentielle 2011 risque une
fois de plus de ne pas être considérable, compte – tenu du faible
engouement des camerounais pour le vote.
Aussi, à l’exception de certaines figures plus ou moins importantes de
l’opposition qui ont déjà à ce jour fait acte de candidature, les poids
lourds de la politique camerounaise entretiennent encore le flou sur
leur participation ou non à ce scrutin. Pour Ni John Fru Ndi, président
du Social Démocratic Front (première force politique d’opposition), en
l’état actuel des choses, il ne lui est pas possible de prendre part à
cette compétition. Pour lui, ELECAM ne donne aucune garantie de
transparence. Même du côté du parti au pouvoir, il est difficile de
savoir qui sera leur plénipotentiaire à ce scrutin. Il est vrai que
d’après les textes, l’actuel chef de l’Etat camerounais est le «
candidat naturel » du RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple
Camerounais).
Seulement, après près de trente ans au pouvoir, certains des adversaires
politiques de Monsieur Biya pensent qu’il est temps pour lui de prendre
un repos mérité; afin de permettre l’alternance au Cameroun. L’on se
souvient aussi que si Paul Biya peut être candidat en cette année 2011,
c’est grâce à sa modification de la constitution de 2008 ; car ce
septennat était normalement le dernier, avant que n’interviennent cette
modification de la loi fondamentale camerounaise. C’est ainsi que
depuis quelques semaines, certains juristes camerounais estiment et
soutiennent que cette modification de l’article 6 de la constitution
camerounaise de mars 2008 ne pourrait pas permettre à monsieur Biya de
briguer un autre mandat en cette année 2011 ; ceci, compte –tenu du
principe de la « non retro applicabilité » des lois.
Pour ces derniers, monsieur Biya ne peut pas déjà bénéficier de cette
modification. S’il désire être à nouveau candidat à sa propre
succession, il devrait tout d’abord – disent – ils – démissionner de
ses fonctions de chef de l’Etat.
Actuellement, le débat fait rage au sein de la classe intellectuelle du
pays entre les pro et les adversaires de cette interprétation de la loi
camerounaise. Depuis quelques semaines, cette affaire fait les
choux-gras des medias du pays ; chacun y allant, suivant sa ligne
éditoriale et sa sensibilité politique. Devant cet embrouillamini, les
pauvres camerounais ne comprennent pratiquement rien et attendent voir
quelle sera l’issu de ce feuilleton.
Source: come4news
Les menaces liées à l'instruction judiciaire en cours sur leurs éventuels "biens mal acquis" en France n'ont pas tempéré leur goût du luxe. Les trois présidents africains visés par la plainte déposée à Paris en 2008 par l'organisation Transparence International France (TIF) pour "recel de détournement de fonds publics" ont continué depuis lors, comme s'ils se sentaient intouchables, à amasser objets de luxe et voitures d'exception.
Révélée par des documents dont Le Monde a pris connaissance, la liste des acquisitions effectuées récemment par les familles Bongo (Gabon), Sassou Nguesso (Congo) et Obiang (Guinée équatoriale) donne le vertige. Ces achats somptuaires prennent une dimension politique nouvelle dans le contexte des révolutions arabes où l'enrichissement personnel des dictateurs a alimenté les colères populaires.
Les policiers de l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), mandatés par les juges d'instruction parisiens Roger Le Loire et René Grouman, ont ainsi établi qu'Ali Bongo, fils de feu Omar Bongo, a acquis en France, en 2009, une Bentley, quelques mois avant d'être élu président du Gabon, à la suite du décès de son père en juin de cette année-là. Les policiers précisent que le choix de M. Bongo, actuel chef d'un Etat dont 20 % de la population vivent avec moins de 2 dollars par jour, s'était porté sur le modèle "Continental Flying speed". Ce bolide de 2,5 tonnes, capable d'atteindre 322 km/h, est facturé plus de 200 000 euros.
La famille de Denis Sassou Nguesso, président du Congo-Brazzaville, n'est pas en reste : son épouse Antoinette a acquis en France, début 2010, une Mercedes classe E immatriculée "corps diplomatique". De son côté, Wilfrid Nguesso, neveu du chef de l'Etat et patron de la Société congolaise de transports maritimes chargée par Brazzaville de prélever les taxes sur les tankers de pétrole congolais, a, en octobre 2009, jeté son dévolu sur une Porsche Panamera turbo (prix constaté : 137 000 euros).
Mais le constat policier le plus stupéfiant concerne Teodoro Nguema Obiang, 41 ans, fils et quasi homonyme de Teodoro Obiang Nguema, 69 ans, qui règne d'une main de fer depuis 1979 sur la Guinée équatoriale et se trouve être le président en exercice de l'Union africaine (UA). Les enquêteurs des douanes ont établi qu'en novembre 2009 "26 voitures de luxe et 6 motos (…) d'occasion d'une valeur de près de 12 millions de dollars ont été acheminées à l'aéroport de Vatry [Marne] en provenance des Etats-Unis [par Teodoro Nguema Obiang] pour réexportation vers la Guinée équatoriale".
Le lot comprenait "7 Ferrari, 4 Mercedes-Benz, 5 Bentley, 4 Rolls-Royce, 2 Bugatti, 1 Aston Martin, 1 Porsche, 1 Lamborghini et 1 Maserati". Au total, les douaniers ont repéré "28 exportations de marchandises depuis 2008 via l'aéroport de Vatry". M. Obiang est "déjà défavorablement connu des services douaniers, notent-ils, pour une importation sans déclaration de véhicules en provenance de Suisse". En 2010, son parc automobile s'est enrichi d'une nouvelle Ferrari et d'une Bugatti dont "le prix d'achat est estimé entre 1,5 et 2 millions d'euros", ajoutent, de leur côté, les policiers.
Les goûts de M. Obiang junior ne se cantonnent pas aux voitures de luxe. Un signalement Tracfin, la cellule gouvernementale antiblanchiment, en date du 7 mars 2011, rapporte que le fils du dictateur de Malabo "s'est porté acquéreur de 109 lots pour un montant total de 18 347 952,30 euros [lors de] la vente de la collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé [actionnaire du Monde]" organisée en février 2009 par Christie's France.
L'interminable inventaire des objets d'art anciens acquis laisse pantois : depuis le "taureau en vermeil" du XVIIe siècle à 298 604 euros jusqu'à la "coupe en noix de coco" à 112 724 euros, en passant par la "figure d'Hermaphrodite en bronze" à 744 716 euros. "Fait atypique", souligne la note de Tracfin, "c'est la société Somagui Forestal, société d'exploitation forestière sous le contrôle de Teodoro Obiang [par ailleurs ministre de l'agriculture et des forêts de son père], qui est à l'origine des virements ayant servi au règlement" des 109 lots d'objets d'art. D'autres documents révèlent que la Barclays Bank a, en France, géré ces transactions.
Les enquêteurs de Tracfin concluent logiquement : "Compte tenu des fonctions occupées par l'intéressé en Guinée équatoriale et de la particularité consistant à faire payer ses achats d'œuvres d'art par la société Somagui [dont il est le directeur], la présence de “biens mal acquis” pourrait être suspectée." La profusion d'œuvres d'art acquise par M. Obiang s'éclaire lorsqu'on découvre qu'il possède pas moins de six domiciles, dont l'un à Malibu (Californie), un autre à Ville-d'Avray (Yvelines) et un autre avenue Foch (Paris 16e).
Selon un témoignage cité par Sherpa, un groupe de juristes en pointe dans le dossier, cette dernière demeure s'étendrait sur quatre niveaux et comprendrait plusieurs dizaines de pièces dont "une salle à manger en corail et une turquerie en panneaux Lalique". La police attribue à la famille Obiang trois sociétés administrant ces biens dont seraient propriétaires quatre autres sociétés domiciliées en Suisse.
Les policiers ont aussi commencé à démêler l'écheveau des sociétés immobilières contrôlées par les familles Bongo et Sassou Nguesso. Sept entités ont été attribuées aux Bongo, dont l'une, associant feu le président gabonais Omar Bongo et son épouse, fille du président congolais Sassou Nguesso, elle aussi décédée, a permis l'acquisition en 2007 d'un hôtel particulier parisien de 18 millions d'euros.
Après avoir complété l'inventaire dressé dès 2007 des biens possédés en France par les trois familles visées, les juges d'instruction devraient chercher à connaître auprès des notaires et des banques l'origine, éventuellement frauduleuse, des fonds ayant permis de les acquérir. Les éléments récents établis par les policiers de l'OCRGDF, les douaniers et Tracfin témoignent de la persistance du phénomène qui a motivé cette enquête sensible, placée sous haute surveillance politique.
Mais les magistrats avaient besoin du feu vert du parquet pour étendre leurs investigations aux biens acquis postérieurement au dépôt de la plainte de 2008 dont ils sont aujourd'hui saisis. Le 13 avril, les juges Le Loire et Grouman ont donc sollicité un réquisitoire supplétif visant les faits nouveaux comme la Bentley d'Ali Bongo ou les objets d'arts de Teodoro Obiang. En toute logique, cette démarche n'aurait pas dû soulever d'objection du parquet, puisque ce dernier avait lui-même transmis aux juges d'instruction les notes policières et douanières compromettantes.
Pourtant, Michel Maes, vice-procureur de la République à Paris, qui dépend hiérarchiquement du ministère de la justice, a signifié par écrit dès le lendemain son refus de délivrer un réquisitoire supplétif. "Si l'on doutait que le parquet est le bras armé du pouvoir politique, ce refus en est le reflet absolu", tonne Me William Bourdon, avocat de TIF et président de Sherpa. Il rappelle que la France a ratifié la Convention des Nations unies contre la corruption de 2003, qui fait de la restitution des avoirs frauduleux un principe fondamental du droit international. Il indique qu'il a déposé une nouvelle plainte visant les faits récemment établis.
De notoriété publique, l'arrêt de la Cour de cassation qui, en novembre 2010, a, contre toute attente, autorisé l'ouverture de l'instruction visant les "bien mal acquis" n'a cessé d'alimenter la colère dans les palais présidentiels de ces trois pays producteurs de pétrole et "amis" de la France.
Source: Lemonde
Ils s'appellent Goalgetter, NoName, Cayac ou DrLektor. Ils discutent jour et nuit sur le chat d'une plate-forme Wiki, et travaillent ensemble en réseau, sans se connaître, à démasquer les plagiats dans les thèses de doctorat de personnalités allemandes, en les passant à la moulinette des moteurs de recherche.
Tout anonymes qu'ils sont, ces Zorro de l'honneur universitaire n'ont cessé de faire parler d'eux depuis la démission début mars de leur première "victime": le ministre le plus populaire du gouvernement Merkel, Karl-Theodor zu Guttenberg (CSU), dont le titre de "Doktor" reposait en fait sur un travail de 475 pages... recopiées à 63%.
Depuis, le site VroniPlag a fait quatre nouvelles prises, parmi lesquelles la vice-présidente du Parlement européen, la libérale Silvana Koch-Mehrin, autre star glamour de la politique allemande, qui a dû renoncer à tous ses mandats - excepté, pour l'instant, celui de députée. Et de nouvelles révélations sont en préparation.
Qui sont-ils, ces justiciers de la Toile? Une "community", comme ils disent, d'un bon millier de personnes, un noyau dur d'environ 50 membres actifs. Agés d'une quarantaine d'années, souvent de formation supérieure, ils arpentent le Net (et les bibliothèques) à la recherche d'emprunts illégitimes dans les oeuvres qu'ils passent au crible. Leurs conclusions sont ensuite publiées sous la forme d'un code-barres, implacable, illustrant l'ampleur de la supercherie.
Un travail de fourmi pour sauver la réputation du "Doktor": "Nous voulons défendre les standards de la recherche scientifique en Allemagne, explique Goalgetter, fondateur de VroniPlag, dans une conversation téléphonique anonyme avec L'Express. Et c'est pourquoi nous travaillons avec la plus grande rigueur: un soupçon de plagiat ne suffit pas. Nous ne divulguons nos conclusions que lorsque l'imposture est avérée."
Professeure à Berlin, et spécialiste du plagiat, Debora Weber-Wulff se frotte les mains: "Voilà qui va remettre un peu d'ordre dans les critères d'obtention des titres universitaires, se réjouit-elle, et faire bouger le monde de l'enseignement supérieur." Dans un pays où le titre de "docteur" est souvent la garantie d'une carrière plus rapide et mieux payée, sans parler de la reconnaissance sociale qu'il procure, les électrons libres du site VroniPlag constituent une vraie menace pour l'establishment.
Une liste de 200 noms circulait récemment sur le Net, en guise d'hypothèse de travail. On y trouvait en vrac: Angela Merkel, Joseph Ratzinger, ou de brillants représentants du monde économique comme le patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann. "Mais ce ne sont pas les personnes qui nous intéressent, précise NoName, nous n'examinons que leurs travaux de recherche, indépendamment de toute appartenance politique."
Reste que, jusqu'à présent, les cinq personnalités prises dans les mailles du filet étaient membres de la droite allemande. Un pur hasard? Les Vroniplagueurs jurent qu'ils rêveraient de s'attaquer à la thèse de doctorat d'un Vert ou d'un député du SPD.
Source: L´Expresse
Aussi féroce que méconnue, la guerre des docks fait rage sur les côtes africaines. Elle se livre dans les antichambres et les prétoires, à coups de combines, d'intox, de rapports d'audit et de procès. En l'espèce, la bataille pour la gestion du terminal à conteneurs du Port autonome de Conakry (PAC) mérite de figurer dans un manuel de polémologie maritime, au chapitre des conflits fratricides : elle oppose en Guinée deux groupes français. Résumons.
En 2008, sous la dictature agonisante de Lansana Conté, le consortium Getma International, filiale de NCT Necotrans, devance, à la faveur d'un appel d'offres, Bolloré Africa Logistics. Suspendue l'année suivante, la concession survivra pourtant aux foucades ubuesques du capitaine putschiste Moussa Dadis Camara. Mais pas à l'élection, en novembre 2010, du vieil opposant Alpha Condé.
Le 3 février 2011, celui-ci reçoit Vincent Bolloré et visite en sa compagnie le PAC. Cinq semaines plus tard, il résilie par décret la convention, ordonnant la réquisition manu militari des bureaux de Getma-Necotrans. Et ce, deux jours avant de confier à l'ami breton de Nicolas Sarkozy un jackpot élargi à la totalité des activités portuaires. Argument avancé : la défaillance de Getma, coupable de n'avoir engagé que le dixième des 30 millions d'euros d'investissements promis.
Le 16 mars, la société ainsi délogée dépose une plainte devant le procureur de la République de Paris pour "corruption internationale". Ses avocats accusent Bolloré d'avoir financé la campagne électorale de Condé via l'agence de communication Euro RSCG, filiale de l'empire. "Pas d'autre explication, tranche l'opposant et ancien chef de gouvernement Cellou Dalein Diallo, crédité de 43,69 % des suffrages au premier tour, contre 18,25 % au futur élu. Alpha a voulu récompenser un ami : tu m'aides à remonter mon handicap, et le port est à toi."
"Le marché ne fait guère de doute, souligne en écho un analyste guinéen. Au PAC, comme au ministère des Transports, on estime que Getma a été lésé. Reste que les preuves manquent. Ni facture ni reçu..." Autant de soupçons vigoureusement récusés chez Bolloré, où l'on invoque l'expertise éprouvée d'un géant titulaire de 13 concessions sur le continent.
Il n'empêche. "La séquence des événements est pour le moins troublante, concède un ponte du Quai d'Orsay, que l'''autoritarisme'' de Condé inquiète. Mais Paris se garde bien d'intervenir dans ce merdier franco-français." Laissant ce soin à la justice : le 26 mai, le tribunal de Nanterre a sommé sous astreinte Bolloré de produire le texte de la convention. A quand le prochain éperonnage en eaux troubles?
Source: L´Expresse
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