posté le 28/02/12
Liste complète du nouveau gouvernement
PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT
Monsieur Raymond NDONG SIMA
posté le 27/02/12
"The Artist" : du jamais-vu pour un film français à Hollywood
Outre l'Oscar du meilleur film, les votants de l'Académie des arts et
sciences du cinéma ont décerné les trophées du meilleur réalisateur à
Michel Hazanavicius, du meilleur acteur à Jean Dujardin, de la meilleure musique à Ludovic Bource et des meilleurs costumes à Mark Bridges.
posté le 27/02/12
Sénégal : vers un second tour opposant Wade à Sall
Le Sénégal se dirige vers un second tour de l'élection présidentielle. Lundi, si aucun chiffre officiel ne permettait d'affirmer que Abdoulaye Wade se trouvait mis en ballottage par son ancien premier ministre Macky Sall,
personne n'en doutait vraiment. Les deux candidats seraient au coude à
coude avec un avantage au président sortant. En fait, le suspens n'a
guère duré.
posté le 23/02/12
Santé: L’OMS confirme ses recommandations sur la contraception hormonale et le VIH
Suivant l’avis de son Comité d'évaluation des directives, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu que les femmes qui vivent avec le VIH ou qui courent un grand risque de contracter le virus peuvent continuer, sans danger, à recourir à la contraception hormonale. Cette recommandation est le fruit d’un examen approfondi des données sur les liens entre la contraception hormonale et l’infection à VIH.
posté le 23/02/12
Nord-Mali: Quand ATT situe la responsabilité criarde de l’OTAN
En recevant à Koulouba les participants au Forum de
Bamako, le Chef de l’Etat est sorti de ses gonds en démontrant aux yeux du monde
la part de responsabilité de l’OTAN, tombeur du régime de Mouammar Kadhafi, dans
la crise qui secoue le septentrion malien. Amadou Toumani Touré ne
croyait pas si bien dire lorsqu’il déclare « Comment une colonne de près de 100
véhicules bourrés d’armes sophistiquées pouvaient échapper au contrôle de l’OTAN
en traversant tout le sahel y compris certains pays de la région pour atterrir
au Mali ». Le président de la République de renchérir « L’OTAN dispose de plus
de moyens pour pouvoir les stopper… ». Mais elle ne l’a pas fait. Alors
que les chefs d’Etats de la région avaient maintes fois mis en garde l’Occident
contre les risques de cette crise sur les Etats du Sahel. Le Chef de l’Etat ne
pouvait pas avoir meilleurs interlocuteurs pour soumettre une telle réflexion
que des participants au Forum de Bamako, un panel de haut niveau composé de
chercheurs, universitaires, fonctionnaires internationaux, anciens responsables
d’Etat venus de divers horizons. Ainsi briffés comme ils l’ont été par ATT, ils
sauront faire preuve de discernement dans le traitement du dossier.Le
président de la République, SE Amadou T. TouréAssassinats avec cruauté
de militaires maliens et civils, trafics intenses d’armes sophistiquées et
pillages, tel est désormais le spectacle désolant auquel se livrent les bandits
armés alliés aux djihadistes d’AQMI dans le nord de notre pays. En effet, la
crise libyenne semble avoir donné un nouvel élan aux djihadistes qui ont acquis
de nouvelles armes auprès des belligérants libyens.Selon plusieurs
sources, ils ont, notamment en leur possession de redoutables missiles sol-air
de type Sam-7. Mais ont aussi reconstitué leurs stocks d’AK 47, d’explosifs et
de lance-roquettes. A ces sanguinaires s’est joint le MNLA qui, faut-il le
rappeler, n’était qu’une simple association ayant acquis son récépissé du
Gouvernorat de Tombouctou. De plus, des centaines de combattants touareg ayant
fait allégeance à Kadhafi sont revenus au Mali et au Niger, aggravant encore un
peu plus la situation sécuritaire.Toutefois, comment ces armements
ont-ils pu s’échapper du contrôle de l’OTAN en traversant la Libye et certains
pays de la région pour atterrir au nord du Mali ? Ce qui fera dire à Amadou
Toumani Touré que « nous sommes en train de gérer les effets collatéraux de la
crise libyenne« .Le Chef de l’Etat a rappelé que dans l’armée de Kadhafi
des dizaines de touareg et d’autres nationalités y avaient été recrutés dont
certains avaient tout simplement intégré la brigade la mieux organisée et
équipée de la Libye et qui était communément appelée la légion islamique.
Pendant que d’autres sont revenus dans leurs pays, certains ont préféré rester
en Libye. Amadou Toumani Touré indiquera que : « ces revenants étaient à
l’origine de la rébellion arabo-touareg de 1990 que notre pays a connue et qui a
été gérée avec la signature du pacte national« .Par ailleurs, et
abondant dans le sens du conflit meurtrier que nous subissons, le président de
la République, a cru bon de faire la part des choses à ses interlocuteurs. Quand
le CNT est arrivé au pouvoir, a-t-il rappelé, les militaires d’origine
étrangère, ayant fait partie de l’armée, étaient devenus indésirables. Chacun a
rallié ce qu’il pense être son pays d’origine. Trois groupes de militaires
touareg sont venu au Mali et ont été réussis par les autorités. Ceux-ci ont
déclaré être au service de leur pays d’origine et qu’ils n’entreprendraient
aucune action de nature à déstabiliser le pays. Un autre contingent non moins
important n’a jamais daigné se signaler aux autorités. A croire Amadou Toumani
Touré, c’est ce groupe qui s’est allié aux djihadistes et aux éléments du MNLA
pour attaquer des villes maliennes. « Ceux qui nous combattent, nous ne savons
pas qui ils sont réellement. Nous n’avons jamais fait face à un soulèvement
d’une telle ampleur » a reconnu ATT.« Avec la chute de la Jamahiriya,
l’OTAN n’a pas intégré les effets collatéraux sur les autres pays«
.Toujours est-il que, selon ATT, la Libye étant le magasin d’armes le
plus important et le moins cher, les bandits de tout acabit sont partis
s’approvisionner à bon marché. Des armes qui ont pris la direction du Sahel au
vu et au su de tous y compris l’OTAN. Qui, pourtant, n’était pas en manque de
dispositif pour stopper ce trafic et empêcher la remontée de cet arsenal vers le
Sahel. Une version qui vient confirmer cette autre version relayée par le
Président de l’Union africaine Yayi Boni. Il disait ce qui suit « le Mali est
victime des effets collatéraux de la crise libyenne et au delà du Mali, c’est
toute la bande sahélienne qui sera paralysée« .Abdoulaye
DIARRASource: L'Indépendant/ (Mali)
posté le 03/02/12
Sénégal : Paris et Washington mettent Wade sous pression
Les heurts s'enchaînent à Dakar. Mercredi soir, c'est l'Université
Cheikh Anta Diop, au centre de la capitale sénégalaise, qui était le
théâtre d'affrontements entre les forces de l'ordre et des étudiants.
Ils protestaient contre la mort, la veille, de l'un des leurs lors de la
dispersion d'une précédente manifestation. La mort de ce jeune homme,
qui aurait été renversé par une voiture de police, porte à cinq le
nombre de victimes des heurts.
posté le 02/02/12
Mali: la fièvre de la rébellion gagne Bamako
Depuis l'attaque de Léré (région de Tombouctou) par les rebelles du
Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) le 26 janvier,
Cheikhna Dicko suit depuis Bamako
la situation des habitants de la ville de 23.000 habitants dont il est
le maire. Au bout du fil, son homologue de Niafounké. Sa ville est
attaquée. Ils recoupent leurs informations : les rebelles sont à
proximité de la ville et «lancent des roquettes».
posté le 02/02/12
La médecine française a elle aussi ses sans-papiers !
En France, ils sont 4 000, majoritairement de nationalité française.
Ils viennent d'Algérie, du Sénégal, du Canada, de Russie ou encore du
Liban. Ils exercent la médecine dans les hôpitaux publics hexagonaux
depuis des années. Ils assurent la prise en charge des patients,
effectuent des consultations, se rendent au bloc opératoire et réalisent
gardes et autres astreintes. Mais au regard de la loi française, ces 4
000 "médecins de fortune" ne sont pas réellement des "docteurs". Pas en
raison de leur nationalité. À cause de celle de leurs diplômes.