Fédération P.D.G. République Fédérale d´Allemagne

Réprésentation du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne

posté le 29/04/11

Le Président gabonais consulte les forces politiques au sujet de la biométrie

Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, a convié hier le Premier Ministre, les représentants des institutions constitutionnelles, les membres du gouvernement, les responsables des communautés religieuses, la société civile, les secrétaires généraux des partis politiques pour une réunion de concertation au sujet de la mise en place de la biométrie au Gabon, en vue des prochaines élections législatives.

Cette réunion fait suite aux appels répétés des différents partis politiques et de la société civile concernant l’utilisation de la biométrie dans le cadre des prochaines élections législatives. Répondant favorablement à leur demande, le Président de la République a pris l’option d’une large concertation avec les forces vives de la nation. L’objectif est d’expliquer les choix possibles en matière de biométrie, afin que tous les intervenants politiques disposent de la même information.

Mise en place de la biométrie

La société MORPHO (groupe SAGEM/SAFRAN), spécialiste mondial de la biométrie et de la sécurité a été mandatée par l’état gabonais pour la mise en œuvre de cet outil au Gabon.

La mise en place de la biométrie repose sur trois étapes fondamentales :
-l’enrôlement, c’est-à-dire le recueil d’informations de l’ensemble de la population gabonaise afin de permettre la vérification de l’identité des citoyens ;
-le traitement informatique des données qui permet de comparer l’ensemble des données biométriques et détecter les anomalies ;
-la production des titres sécurisés et personnalisés comme les cartes d’identité, cartes d’électeur, cartes de fonctionnaire, permis de conduire, et autres.

Deux scenarii envisagés

Compte tenu du temps restant jusqu’aux prochaines élections législatives, deux scénarii ont été avancés par le Directeur de programme de MORPHO.

Un scenario express permettra la mise en œuvre de la biométrie avant l’échéance électorale fin 2011. Cette solution qui demandera 5 mois de travail pour un coût d’environ 60 milliards de FCFA, permettra uniquement la mise en place des cartes électorales biométriques. Compte tenu du faible laps de temps d’ici la fin de l’année, toutes les données collectées seront traitées en Europe ainsi que la production et la personnalisation des titres. Ce scenario nécessitera l’achat de 2000 valises biométriques – 1500 à usage fixe pour les bureaux d’enrôlement et 500 mobiles pour se déplacer à travers tout le Gabon. 6200 agents seront déployés sur le terrain dont 4000 fonctionnaires fournis par l’état gabonais pour gérer l’accueil des citoyens et la saisie des formulaires sur les 4 à 5 semaines d’enrôlement prévues.

Le deuxième scenario prévoit la création d’un site de traitement des données et de production des titres au Gabon. Il permettra un meilleur contrôle des données sur le territoire. Ce scenario d’une durée d’un an environ, nécessitera le déploiement de 800 personnes et l’acquisition de 200 valises biométriques. Il permettra d’obtenir des informations qui serviront par la suite pour réaliser d’autres sortes de titres (séjour, passeport, permis, carte d’identité…) Cette solution, comparativement au scénario express fera économiser près de 20 milliards de francs CFA à l ‘Etat.

Trois contraintes observées pour le scenario express

Trois types de contraintes (techniques, financières et légales) ont été identifiés concernant la mise en place express de la biométrie avant la fin de l’année 2011.

Concernant les contraintes techniques, « La mise en place d’un tel processus est lourde et complexe. Elle suppose la mobilisation de moyens techniques, logistiques et humains importants » a déclaré le Chef de l’Etat. Il a ensuite ajouté que « la conclusion logique est qu’il est difficile de réaliser un produit fini de qualité en moins d’un an ».

S’agissant des contraintes financières, au coût habituel de 26 milliards pour organiser des élections législatives, il faudra ajouter 30 milliards de budget supplémentaire pour l’organisation de l’enrôlement ainsi que 30 milliards pour la prestation et le matériel fourni par MORPHO, or, ce surplus de dépense n’a pas été prévu dans le budget de l’état.

Au niveau des contraintes légales, le Gabon s’est engagé depuis une vingtaine d’années à être un état de droit démocratique. « La loi relative à l’informatisation et à la liberté individuelle devra être auparavant votée à l’Assemblée et le code électoral sera révisé afin d’y ajouter l’enrôlement biométrique, et ceci avant les élections » a déclaré le Ministre de l’intérieur.

L‘appel à la concertation par le chef de l’Etat

Alors que la nécessité de la mise en place de la biométrie au Gabon est reconnue par tous, un certain nombre de questions demeurent pourtant, devant la volonté d’implémenter cet outil avant la fin de l’année.
« Peut-on et doit-on sacrifier certains investissements programmés, notamment ceux de la Coupe d’Afrique des Nations, pour réaliser la biométrie électorale ? Doit-on engager un tel processus avant d’avoir mis à niveau le corpus légal ? Faut-il envisager un report des élections au delà des délais légaux, c’est à dire au plus tard le 24 décembre 2011 ? Si oui, quelle serait la durée de ce report ? Un report des élections législatives conduirait à saisir la cour constitutionnelle en vue de la vérification d’un éventuel cas de force majeur. Serait-ce vraiment le cas ? » a questionné Ali Bongo Ondimba à l’assemblée.

Il a ensuite demandé à toutes les personnes présentes d’agir en personnes responsables et de réfléchir à ces questions : « Nous sommes devant un choix important et j’ai voulu que ce choix soit pris par nous tous. La question des élections législatives nous regarde tous. »

Le Président a rappelé que la CAN ne devait pas être mise en danger à cause de la mise en place de la biométrie.

« Nous disposons tous des mêmes informations. Je voudrais que les forces politiques prennent le temps de la réflexion et que nous nous retrouvions afin d’échanger sur le fruit de nos réflexions et s’arrêter sur une décision » a conclu le Président.

Une prochaine réunion aura ainsi lieu le 9 mai prochain afin de prendre la décision qui réunit le plus de consensus et offre les meilleures perspectives pour l’avenir du Gabon.

 

Source: Presse Présidentielle

 


 
 
posté le 29/04/11

Madagascar : sabotage du jet présidentiel le jeudi 28 Avril 2011

Le Président de la Haute Autorité de la Transition, SEM Andry Nirina RAJOELINA, son épouse, le Président du Congrès de la Transition, SEM Randrianantoandro RAHARINAIVO, et le Ministre des Affaires étrangères, Mme Yvette SYLLA, s’embarquaient ce Jeudi 28 Avril 2011 à 15h, à l’aéroport de la Base aéronavale d’Ivato, à bord d’un jet privé pour aller joindre la Zambie, en vue de l’entretien qu’ils devront avoir avec le Président de la République de Zambie, SEM Rupiah Bwezani BANDA.

Or, après tout simplement une vingtaine de minutes de vol, les deux pilotes du jet privé ont réalisé que ceci a eu des problèmes techniques et n’a pu atteindre l’altitude normalement requise.

Ce qui les a amenés à décider de refaire cap sur l’aéroport de la Base aéronavale d’Ivato.

Immédiatement après l’atterrissage, les mêmes pilotes ont procédé à la fouille minutieuse de l’intérieur de l’aéronef. Là où ils ont pu constater que l’une des couvertures et les toilettes du jet privé ont déjà été utilisées.

Ce qui les a amenés, sur le champ, à conclure qu’une ou des personnes étaient présentes à l’intérieur dudit jet privé, avant l’embarquement du Président de la Haute Autorité de la Transition et sa suite.

D’ailleurs, les premiers constats qui s’ensuivirent ont permis tant aux pilotes dont il s’agit qu’aux enquêteurs de déduire que le jet privé en question a fait l’objet d’un sabotage technique.

L’un des pilotes a même déclaré que s’ils avaient forcé le jet privé à prendre l’altitude requise, les réacteurs auraient risqué de s’exploser en plein vol.

En tout cas, sur ordre formel du Chef de l’Etat, des enquêtes judiciaires ont déjà été ouvertes pour déterminer les circonstances réelles ayant entoure cet acte de sabotage.

Un Ingénieur international a également été saisi pour procéder au check technique dudit jet privé, en collaboration avec ceux nationaux.

Notons que ce jet privé a, ce Mardi 26 Avril 2011 dernier, ramené le Chef de l’Etat et sa famille des Emirats Arabes Unis, sans le moindre problème. Et que cet aéronef a ainsi été immobilisé depuis à l’aéroport de la Base aéronavale d’Ivato, avant son décollage pour la Zambie de ce jour.

 

Source: anac.ga

 


 
 
posté le 29/04/11

Etats-Unis: Obama officialise le remaniement de son équipe de défense et de renseignement

Le président américain Barack Obama a annoncé jeudi 28 avril le remaniement en profondeur de son équipe de défense et de renseignement, confiant en particulier à ces nouveaux responsables la mission de gérer la transition en Afghanistan.

Lors d'une cérémonie à la Maison Blanche, le président a confirmé qu´il remplaçait le secrétaire à la défense Robert Gates  par l'actuel directeur de la CIA Leon Panetta . Il a nommé le général David Petraeus, chef des forces internationales en Afghanistan, à la tête de la centrale du renseignement.

 

Léon Panetta a été nommé en février 2009 à la tête de la CIA.

Léon Panetta a été nommé en février 2009 à la tête de la CIA.AP/J. Scott Applewhite

 

M. Obama a aussi annoncé sa volonté de remplacer le général Petraeus par le général John Allen, numéro deux du commandement militaire américain dirigeant les opérations dans tout le Moyen-Orient et l'Asie du Sud, et nommé le diplomate Ryan Crocker au poste d'ambassadeur en Afghanistan.

 

RETRAIT

Dans ce pays, "nous sommes en train de passer à une nouvelle phase, le transfert des responsabilités de sécurité aux forces afghanes, en commençant à réduire le nombre de forces américaines cet été et en œuvrant à un partenariat à long terme avec les Afghans", a affirmé M. Obama.

 

Le général Petraeus en Afghanistan, en décembre 2010.

Le général Petraeus en Afghanistan, en décembre 2010.AFP/JIM WATSON

 

En présentant fin 2009 sa nouvelle stratégie dans la région du Pakistan et de l'Afghanistan, M. Obama avait envoyé 30 000 soldats supplémentaires dans ce dernier pays et fixé à juillet 2011 un début de retrait de ces forces.

La grande inconnue reste l'étendue de ce retrait, alors que les soldats des forces internationales, au nombre de 140 000 dont près de 100 000 Américains, sont toujours confrontés à une insurrection meurtrière près de dix ans après le début de l'intervention étrangère dans ce pays dans la foulée du 11-Septembre.

CHAISES MUSICALES

M. Crocker, un ancien chef de mission diplomatique en Irak et au Pakistan, va remplacer à Kaboul Karl Eikenberry, dont les relations avec le président afghan Hamid Karzai sont, de notoriété publique, très tendues.

La situation en Afghanistan est au cœur de ce jeu de chaises musicales, qui illustre aussi, dans le cas de MM. Panetta et Petraeus, un effacement de la frontière entre les opérations de l'armée régulière et celles, clandestines, du renseignement.

La Maison Blanche espère voir M. Panetta, dont l'une des missions sera de poursuivre les mesures d'économies budgétaires entreprises par son prédécesseur, prendre ses fonctions dans la foulée du départ de M. Gates le 30 juin, et M. Petraeus s'installer à la CIA en septembre après avoir pris sa retraite de l'armée.

Toutes ces nominations devront être confirmées par le Sénat, où elles ont reçu un accueil généralement positif de la part des démocrates comme des républicains.

 

Source: Lemonde

 


 
 
posté le 29/04/11

Conflit Thaïlande-Cambodge : les combats continuent malgré le cessez-le-feu

Un soldat thaïlandais a été tué par les forces cambodgiennes, dans la soirée du jeudi 28 avril, malgré l´accord de cessez-le feu conclu le jour même entre la Thaïlande et le Cambodge. Des militaires des deux camps confirment que les combats continuent près du temple de Ta Krabei, à la frontière entre les deux pays. Mais ils se renvoient la responsabilité de ces attaques. Le colonel cambodgien Suos Sothea accuse les Thaïlandais d'avoir tiré des obus, vendredi 29 avril, autour du temple de Ta Krabei. "Nous ne pouvons pas [leur] faire confiance, affirme-t-il. Hier, ils disaient qu'ils allaient stopper les combats et maintenant, ils nous attaquent de nouveau.

Le porte-parole de l'armée thaïlandaise, le colonel Sansern Kaewkamnerd, incrimine les soldats cambodgiens, coupables selon lui de ne pas avoir respecté le cessez-le-feu : "Leurs unités locales sont peut-être en désaccord avec leurs responsables au sujet des négociations de paix." Le directeur de l'hôpital de Phanom Dong Rak, à vingt kilomètres de la frontière avec le Cambodge, confirme qu'un soldat thaïlandais a été tué jeudi soir, portant à seize le nombre total de victimes depuis le début de la semaine.

 

LES TEMPLES AU CŒUR DU CONFLIT

La Thaïlande et le Cambodge se disputent la souveraineté de deux zones en pleine jungle le long de la frontière. La première, où le soldat a été tué jeudi soir, est située autour des temples de Ta Krabei et de Ta Moan. La seconde concerne le temple de Preah Vihear, dont les ruines du XIe siècle sont classées au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis 2008.

La Thaïlande en contrôle les principaux accès mais le temple appartient officiellement au Cambodge depuis une décision de la Cour de justice internationale en 1962. Un arbitrage fondé sur une carte de 1907, quand la région était une colonie française, que les Thaïlandais refusent de reconnaître. Ils lui préfèrent une autre carte, de 1904, qui leur est plus favorable. Plusieurs analystes soulignent que ce conflit est utilisé, des deux côtés, pour exacerber le sentiment nationaliste au sein de la population.

Le cessez-le-feu conclu jeudi 28 avril prévoit l'ouverture d'un point de passage afin de permettre le retour dans leur pays des populations déplacées par les combats, évaluées à 60 000 personnes. Mais la question des frontières, elle, n'est pas encore réglée. L'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean), actuellement présidée par l'Indonésie, tente une médiation. Le ministre indonésien des affaires étrangères, Marty Natalegawa, a affirmé jeudi que son homologue thaïlandais avait accepté le déploiement d'observateurs indonésiens le long de la frontière. Le Cambodge réclame une médiation depuis plusieurs mois, alors que Bangkok exige des discussions bilatérales.

 

Souce: Lemonde

 


 
 
posté le 28/04/11

RDC : sur les traces des assassins de Kabila

Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman se penchent sur le meurtre du président congolais en 2001. Un forfait qui a profité à plus d’un.

Tout commence avec une caméra dissimulée dans l’étui d’une Bible et des images bancales d’une cour de Makala la prison de Kinshasa. Puis le caméraman clandestin apparaît : Antoine Vumilia, ex-agent de renseignement, l’une des cinquante et une personnes condamnées pour l’assassinat du président congolais Laurent-Désiré Kabila (LDK),le 16 janvier 2011.

« Je suis là parce qu’il faut que quelqu’un paie.

Je suis là parce qu’il fallait très vite donner au peuple […] une réponse », ânonne-t-il devant le mur vert délavé de sa cellule. Son témoignage constitue le fil rouge de Meurtre à Kinshasa. Réalisé par la documentariste Marlène Rabaud et l’ancien correspondant de la BBC à Kinshasa Arnaud Zajtman, ce film entreprend de résoudre une énigme encore brûlante : qui a tué Laurent -Désiré Kabila?

Malgré un procès devant une cour militaire, en 2002, la justice congolaise n’a jamais identifié les véritables motifs et auteurs de l’assassinat du « Mzee », père de l’actuel chef de l’État. Son aide de camp, le colonel Eddy Kapend, a été désigné comme le commanditaire et coupable numéro un. Des images d’archives le montrent, droit comme un « i » dans son uniforme, apprenant sa condamnation à mort tandis que des militaires arrachent ses galons. N’ayant pas été exécuté, il croupit à Makala mais refuse de témoigner. Peut-être dans l’espoir d’une grâce. Pour beaucoup, Eddy Kapend, comme les autres condamnés, est innocent : « Je ne pense pas que ce soit eux, ils ont porté le chapeau », dit Abdoulaye Yerodia, sénateur et compagnon de route de LDK. Des ONG réclament en vain que le dossier soit rouvert. À la fin du film, Arnaud Zajtman interroge Joseph Kabila lors d’une conférence de presse : « L’affaire se trouve entre les mains de la justice », élude celui-ci.

Boîte de pandore

Pour les autorités, l’assassinat doit rester une affaire classée. Un nouveau procès pourrait ébranler un mythe fondateur du régime : celui d’une justice efficace. Dans la boîte de Pandore, il y a de sombres intrigues qui pourraient écorner la légende d’un Laurent-Désiré Kabila martyr et, indirectement, saper la légitimité de son successeur, son fils.

À la question qu’il pose, le film d’Arnaud Zajtman n’apporte pas de réponse univoque. Mais grâce à de nombreux témoignages, il explore des pistes convergentes qui permettent d’ébaucher un scénario. Il y a d’abord l’amertume de deux jeunes gardes du corps lâchés par Kabila. Le premier, Rachidi Kasereka, a appuyé sur la gâchette. En aide de camp loyal, Eddy Kapend l’a abattu dans la foulée. Le second, Georges Mirindi, attendait Rachidi dans une voiture. Emprisonné, il s’est évadé et exilé en Suède. L’homme sait tout mais ne livre pas ses secrets à Arnaud Zajtman. Néanmoins, il ne désapprouve pas vraiment les pistes proposées.

Une hypothèse s’impose : l’assassinat est certainement le résultat d’une somme de vengeances dont Rachidi et Mirindi ont été les exécutants. Après le meurtre, Mirindi trouve refuge chez un certain Bilal Héritier. Très introduit auprès de LDK, ce diamantaire libanais avait perdu ses prérogatives quand, en quête de liquidités, le Mzee avait décidé de confier le monopole du diamant congolais à un concurrent israélien, IDI-Congo. Mirindi et Héritier se réfugieront au Rwanda et dans l’est du Congo, où ils profiteront de la bienveillance de la rébellion, soutenue par Kigali, qui sévit à l’époque.

Les États-Unis font aussi partie des mécontents. Antioccidental revendiqué, LDK rappelle de mauvais souvenirs de guerre froide à Washington. Selon le témoignage de Mwenze Kongolo, ministre de la Justice de LDK, la carte de visite de l’attachée militaire américaine à Kinshasa, Sue Ann Sandusky, qui a quitté le pays dans la foulée de l’assassinat, a été retrouvée sur Rachidi. Au verso, elle portait ce petit mot : « S’il vous arrive quelque chose, contactez […] » Interrogée, Sue Ann Sandusky admet qu’elle avait des « contacts très informels » avec Rachidi, et Mirindi a même « pris quelques bières » avec eux. « L’élimination de Kabila arrangeait les Américains et ils ont peut-être laissé faire », dit la voix off. Avant cette conclusion d’Antoine Vumilia, qui s’est évadé depuis : « On ne bâtit pas un pays sur la base de mensonges. »

 

Source: Afriqu´Echos Magazine
 


 
 
 

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