Fédération P.D.G. République Fédérale d´Allemagne

Réprésentation du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne

posté le 13/07/11

La sexualité à risque des routiers namibiens

En Namibie, une catégorie professionnelle se révèle particulièrement vulnérable à la transmission du virus du sida: celle des routiers.

 

Une récente étude conduite par l’Institut public de la recherche (IPPR) estime qu’environ 25% des routiers transfrontaliers sont porteurs du VIH, rapportait Africa Review le 11 juillet 2011, précisant que ces routiers, qui se livreraient régulièrement à des rapports sexuels à risque agissent souvent «sans réfléchir, sous l’influence du cannabis et de l’alcool».

 

Souvent absents de leur foyer pendant de longs mois, le mode de vie des routiers n’est sûrement pas étranger à leur exposition aux maladies et infections sexuellement transmissibles:

«A quelques encablures du centre de santé, un bar clandestin connu pour accueillir des prostitués semble attirer plus de routiers que le centre de santé […] C’est ici qu’ils préfèrent passer le reste de l’après-midi, étant donné que les frontières avec la Zambie et le Botswana n’ouvrent pas avant le lendemain matin.»

Le problème se situe également dans l'absence de prévention des risques auxquels ils peuvent être exposés lors de rapports non protégés. Tawanda, routier âgé de 31 ans, en témoigne:

«Je ne sais rien à propos de ça [le sida]. Que Dieu me protège […] Beaucoup de routiers fréquentent des prostituées… Le tarif pour un rapport sexuel est compris entre 15 et 30 dollars [entre 10 et 20 euros]. Je travaille comme routier depuis 2 ans. Je gagne 1.050 dollars par mois, donc rendre visite aux prostituées n’est pas si cher!»

De nombreux routiers n’aiment pas rester isolés, ils se retrouvent donc dans des endroits fréquentés: bars, restaurants, boîtes… José, un routier d’origine angolaise, se retrouve souvent à passer des nuits au port de Walvis Bay:

«Il y a beaucoup de mouvement dans ces villages. Partout, vous pouvez trouver des groupes de 5 ou 6 routiers… Il y a une bonne ambiance, vous échangez vos expériences, parlez avec les gens du coin et buvez quelques bières. Vous devez avoir de la bière, comme vous êtes loin de chez vous, si vous ne buvez pas d’alcool vous n’êtes pas dans l’ambiance. En temps normal, un homme ou une femme qui se rend dans ce genre d’endroit veut se faire des amis. Alors vous dansez, vous rencontrez des filles…»

 

Source: Slate afrique

 


 
 
posté le 13/07/11

Comprendre le scandale News of the World

Un scandale d'écoutes téléphoniques a contraint Rupert Murdoch à sacrifier le tabloïd News of the World. Et il songe à fermer ses autres titres britanniques. Jusqu'où s'étendra l'incendie, au sein de l'empire News Corp?

 

Le tabloïd News of the World a mis la clé sous la porte, emporté par le scandale des écoutes téléphoniques. Rupert Murdoch, le magnat des médias, perd le fleuron de son groupe News Corp au Royaume-Uni, et songe à fermer ses autres titres britanniques, alors que les Etats-Unis pourraient enquêter sur les pratiques des titres américains du groupe. LEXPRESS.fr reprend tout de A à Z... ou presque, puisque l'affaire continue. 

 

Ecoutes téléphoniques: trop c'est trop!

 

Les pratiques douteuses du News of the World (NotW) n'ont pas été découvertes la semaine dernière. Le tabloïd était déjà visé par une vaste enquête, lancée en 2005, sur le piratage de messageries de stars et de membres de la famille royale. Le Telegraph et la BBC en ont établi une chronologie. 

 

Mais une enquête du Guardian a relancé l'affaire, début juillet. Le quotidien britannique a démontré que le tabloïd avait franchi une ligne jaune et macabre: un détective privé engagé pour enquêter sur la disparition d'une adolescente de 13 ans, en mars 2002, a piraté sa messagerie téléphonique, alors qu'elle était déjà morte. 

 

Dans la foulée, les Britanniques horrifiés ont découvert que le tabloïd avait aussi, par l'intermédiaire de détectives privés, piraté les messageries de proches de victimes de l'attentat de Londres en 2005, ou de familles de soldats tués en Irak ou en Afghanistan. La liste se complète de jour en jour, mais cette ébauche a suffi pour que NotW se saborde. 

 

Les adieux d'un monument de presse

 

"Merci et adieu". Cette Une, paru dimanche 10 juillet, sera la dernière pour le tabloïd vieux de 168 ans. Dans un éditorial couvrant une page entière, le NotW reconnaît "s'être perdu"... mais assure sans modestie avoir "fait l'Histoire". Dans un dernier baroud d'honneur, NotW a réalisé un pot-pourri des plus gros succès qui ont fait de lui le journal à plus fort tirage du Royaume-Uni: "l'enfant caché" du tennisman Boris Becker; les affaires extra-maritales de tel évêque ou du footballeur David Beckham; la liste des "pervers sexuels" ayant purgé leur peine... 

 

L'édition souvenir reste en vente en ligne jusqu'au 22 juillet. Les profits de cette édition quasi dépourvue de publicités, en raison du boycott d'annonceurs, seront reversés à des oeuvres caritatives. 

 

Les visages du scandale

 

L'attention des médias britanniques se concentre sur le nom de plusieurs protagonistes de l'affaire. Certains (Murdoch père et fils, ainsi que Rebekah Brooks) sont priés par le Parlement de venir s'expliquer lors d'une audition devant la commission des médias, dont la dernière réunion est prévue le 19 juillet avant les vacances. La police pourrait les convoquer aussi, indique le Telegraph: ont-ils menti lors des enquêtes lors des précédents "épisodes" du scandale des écoutes? Le New York Times a réalisé une infographie complète, en voici les principaux visages. 

 

Rupert Murdoch. Le tout-puissant patron du groupe transatlantique News Corp a fait le déplacement à Londres pour circonscrire l'incendie. Agé de 80 ans, le magnat australo-américain est à la tête d'un véritable empire. Le Parlement britannique veut l'entendre. 

 

James Murdoch. Le fils du magnat dirige les opérations européennes et asiatiques de News Corp, et donc celles au Royaume-Uni, où la filiale est baptisée News International. Le Parlement lui demande aussi des comptes.

 

Andy Coulson. Ancien rédacteur en chef du NotW, il était devenu le directeur de la communication du Premier ministre David Cameron. Il a démissionné de ce poste en janvier et a été entendu dans le cadre de l'affaire des écoutes illégales. Il aurait autorisé des paiements à la police pour obtenir des informations quand il dirigeait la rédaction. 

 

 Rebekah Brooks. La directrice générale de News International nie fermement avoir cautionné ou même avoir été au courant du piratage de messageries au sein du tabloïd dont elle a été rédactrice en chef en 2000, avant de passer au Sun en 2003. La "reine des tabloïds" a refusé d'abdiquer, malgré les multiples demandes de démission. 

 

Glenn Mulcaire. Les affaires de ce détective auquel NotW déléguait ses basses oeuvres semblaient fructueuses: quelque 4000 personnes sont recensées dans ses carnets, donc susceptibles d'avoir vu leur vie privée espionnée. Il a été condamné à une peine de prison ferme après un premier scandale d'écoutes, en 2007.  

 

Le scandale s'étend au Royaume-Uni

 

L'affaire fait tache d'huile, malgré la tentative de circonscrire l'incendie en fermant NotW. Mardi, l'ancien Premier ministre Gordon Brown a mis dans le même sac NotW et d'autres journaux nationaux de News International: le Sunday Times et le Sun

Après le "hacking" ou piratage, les Britanniques ont découvert le "blagging", au travers des accusations de Gordon Brown, qui se dit victime de pratiques "criminelles". Cette technique de dissimulation et/ou d'usurpation d'identité aurait été utilisée par des journalistes, des détectives ou même des acteurs à leur solde, en vue d'obtenir des informations confidentielles. Au nombre des "blaggers" figureraient des "criminels ayant un casier judiciaire." 

 

Outre ces pratiques, contestables voire illégales, l'affaire s'étend sur le plan purement économique... L'action du groupe News Corp a perdu 14,6% entre la clôture du 5 juillet et celle de lundi soir. De nombreux annonceurs ont aussi décidé de suspendre leur campagne publicitaire, dissuadés par le déluge de révélations. 

 

Ce "lundi noir" a aussi été marqué par une mauvaise nouvelle pour le magnat des médias: le renvoi à l'autorité de la Concurrence du dossier du rachat du bouquet satellitaire BSkyB par le groupe Murdoch pour 10 milliards d'euros.

 

Dans un retournement "à peine imaginable" avant le scandale selon le Telegraph, les conservateurs ont ainsi rejoint les travaillistes et les libéraux, déjà réticents à ce projet qui remettait en question le pluralisme de la presse, pour faire barrage. Rupert Murdoch, finalement, jette l'éponge ce mercredi. 

Eviter une contamination, notamment aux Etats-Unis

Débarqué dimanche des Etats-Unis, le magnat de 80 ans a convoqué une réunion de crise à son domicile londonien à son arrivée. Prêt à combattre, en première ligne. Après la fermeture de NotW, il multiplie les annonces pour contenir l'incendie qui couve, comme un programme de rachat d'actions de 5 milliards de dollars sur douze mois.  

 

Et la possible cession des autres titres britanniques de son conglomérat reste une option. La publication qui évoque cette dernière piste, le Wall Street Journal, fait lui-même partie de l'empire Murdoch, via Dow Jones & Company racheté par News Corp en 2007. Rupert Murdoch cherche peut-être ainsi à protéger ses intérêts américains... alors même qu'un sénateur américain demande une enquête pour déterminer si le groupe a eu recours aux mêmes pratiques aux Etats-Unis. 

 

Source: L´Expresse

 


 
 
posté le 12/07/11

Les Rwandais, pionniers de la vasectomie

Le Rwanda fait figure de pionnier dans le domaine de la contraception masculine. En dépit de la propagande qui prête de noires intentions au gouvernement.


Avec plus de 56 % de femmes au Parlement et 30 % au gouvernement, le Rwanda s’est hissé à un niveau presque scandinave en matière d’égalité des sexes. Logiquement, il en va de même dans le domaine de la responsabilité en matière de contraception. "On ne peut pas demander l’égalité entre l’homme et la femme et limiter le secteur de cette égalité", explique la ministre de la Santé, Agnès Binagwaho, pédiatre de formation, pour justifier la promotion, depuis trois ans, de la vasectomie parmi d’autres solutions de contraception à long terme.

 

 Autrement dit, une intervention chirurgicale qui consiste à sectionner ou à obturer les canaux déférents qui transportent les spermatozoïdes, dont le caractère est souvent irréversible, et qui offre une solution de contraception à long terme.

Le dossier a fait couler beaucoup d’encre et de salive. Sur Internet, des sites d’opposants accusent le président Paul Kagame et son gouvernement de vouloir mettre en œuvre, à travers cette campagne, un vaste plan de "castration" de ses concitoyens.

En fait, tout est parti de la nécessité de relever le défi démographique dans un pays qui compte 11 millions d’habitants pour 27000 km2, avec une densité de plus de 400 habitants/km2 et un taux de croissance de la population de 2,78 % en 2009. Au train où vont les choses, c’est tout l’effort de développement qui est menacé.

 

 "Notre politique est de scolariser tous les enfants. Pour ce faire, nous devons créer énormément d’établissements, à un rythme plus rapide que nous le permet notre croissance. Et former les enseignants, les médecins et les infirmiers pour les centres de santé. Si on n’intervient pas, il nous sera impossible d’améliorer la qualité des services à la population, si tous les efforts sont absorbés par le souci de donner des prestations à chacun", explique la ministre de la Santé Agnès Binagwaho.

La vulgarisation de la vasectomie fait partie d’un arsenal de solutions proposées aux citoyens en matière de limitation des naissances pour répondre à ce défi. "On explique toutes les méthodes de planning familial qui peuvent être utilisées par le couple, à travers la femme et à travers l’homme. Le couple choisit. Et on met les moyens à sa disposition", poursuit la ministre.

Dans ce contexte, la vasectomie est promue, parce qu’elle offre une solution de contraception à long terme, comme la ligature des trompes chez les femmes ou les implants (introduction sous-cutanée qui délivre de la progestérone et bloque l’ovulation et dont la durée tourne autour de trois ans). Mais bien sûr, on oriente vers les solutions irréversibles comme la ligature des trompes et la vasectomie, les familles qui ont déjà plusieurs enfants et n’en désirent plus, précise Agnès Binagwaho.

En définitive, ils sont autour d’un millier à avoir subi l’opération dans tout le pays, exécutée le plus souvent à la chinoise, sans bistouri, explique le docteur Léonard Kagabo, chargé du programme vasectomie au ministère de la Santé.


Nous avons rencontré quelques-uns de ces pionniers de la contraception masculine à quelques kilomètres de l’imposante forteresse du diocèse catholique de Kagbayi.

Source: La Libre Belgique

 

 


 
 
posté le 12/07/11

Gabon : Un bilan positif au Prytanée Militaire

Lors de l’inauguration du Complexe Omnisports du Prytanée Militaire de Libreville par le Président Ali Bongo Ondimba, vendredi dernier, le commandant de cette école de cadets militaires, le capitaine de frégate Anselme Léopold Délicat a saisi l’occasion du concours d’entrée dans cet établissement scolaire pour revenir sur le bilan de l’année scolaire 2010-2011. Lequel est marqué, a-t-il indiqué, par une amélioration des résultats, tant aux différentes sessions d’examen que lors des simples passages en classes supérieures.

 

Ainsi, au compte du BAC français 2011, sur les cinq candidats, tous ont réussi avec des mentions « assez-bien », soit 100%, contre 93% en 2010. Et le commandant, de se dire confiant sur l’issue du BAC gabonais en cours.

Pour le BEPC, l’établissement a enregistré 100 %. Les 21 candidats présentés ont tous obtenu leur diplôme, dont cinq avec des mentions « bien » et dix avec « assez bien ».

 

En termes de résultats internes, cette école située au Camp Baraka, a, à en croire le capitaine de frégate, côtoyé l’excellence. A cet effet, 120 élèves sur 128 ont obtenu leur passage en classes supérieures, soit 93,65%. A Contrario, 8 apprenants (dont les moyennes varient entre 10 et 12,90) ont été recalés pour insuffisance de résultats, et seront transférés dans les lycées et collèges publics de la place.

 

Anselme Léopold Délicat a rappelé que son établissement a décroché la palme d’or au rallye scientifique, organisé par le lycée français Blaise-Pascal de Libreville. Une récompense obtenue pour la 3ème année consécutive devant une dizaine de lycées de la capitale gabonaise. Sans oublier de mentionner l’admission de 2 élèves dans une école militaire de médecine en Chine.

 

Selon lui, l’objectif, à terme, de l’école est de participer au BAC international ouvrant à ses élèves les portes des plus grandes académies du monde.

On n’est pas sans savoir que le vœu du Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, est de constituer, à travers une formation d’élite, des jeunes issus du Prytanée, une armée en or.

 

Rappelons que lors des années précédentes, 23 élèves ont été admis pour l’exercice scolaire 2011-2012, au Prytanée Militaire de Libreville.

Notons que le Prytanée Militaire de Libreville qui a pour missions de dispenser à des jeunes gabonais et expatriés un enseignement du second degré général et une instruction militaire les disposant à une carrière militaire, a été ouvert le 5 novembre 2001.

 

Source: Infos Gabon

 


 
 
posté le 12/07/11

Législatives 2011 au Gabon : Pourquoi l’opposition s’agite-t-elle ?

Dans une déclaration commune samedi dernier à Libreville, les députés de l’opposition ont dénoncé ce qu’il qualifie de « jeu de dupe du pouvoir » concernant l’introduction de la biométrie dans le processus électoral au Gabon et demandé au Président de la République, Ali Bongo Ondimba de « prendre en main ce dossier en promulguant par la procédure d’urgence la loi sur la protection des données à caractère personnel ».

 

Le texte a été publié à l’issue de deux rencontres entre l’Opposition et le Premier Ministre Paul Biyoghe Mba, ainsi que le Ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou.

 

A l’issue notamment de la rencontre avec le Premier Ministre, les députés de l’opposition soutiennent que le « le gouvernement a décidé unilatéralement de différer l’introduction de la biométrie dans le code électoral contrairement au consensus dégagé par la classe politique et la société civile lors de la rencontre du 9 mai 2011 à la Présidence de la République ».

 

Le communiqué poursuit que « le gouvernement a décidé de passer outre les injonctions du Président de la République telles que transcrites dans le communiqué final du conseil des ministres du 14 juin 2011, lui demandant de tout mettre en œuvre pour matérialiser les recommandations de la Cour Constitutionnelle, notamment la promulgation de la loi sur la protection des données à caractère personnel adoptée en termes identiques par les deux chambres du parlement, l’élaboration sans délais d’un projet de loi portant modification de la loi 07/96 du 12 mars 1996 portant dispositions communes à toutes les élections politiques en République Gabonaise en prenant en compte les dispositions de la loi sur la biométrie ».

 

Le président de la République doit à leur avis mettre « en place la commission mixte paritaire (majorité/opposition/société civile) telle que décidé lors de la rencontre du 9 mai 2011, en vue de proposer dans les meilleurs délais un projet de texte consensuel introduisant la biométrie dans le code électoral ».

Notons qu’au cours des changes avec le Premier Ministre le 8 juillet 2011 à son cabinet de travail, les députés de l’opposition  sont revenus sur le report du scrutin en cas de non introduction immédiate de la biométrie dans le système électoral.

 

En réponse à leur préoccupation, Paul Biyoghé Mba leur a présenté l’état des lieux en précisant qu’il ne fallait pas aller trop vite en besogne au risque de revenir toujours à la case départ. Il faudrait pour cela, dira t-il, respecter scrupuleusement la loi en vigueur afin de ne pas recevoir les récriminations de la Cour Constitutionnelle.

 

De son côté, face à ses interlocuteurs, Jean François Ndongou, a présenté à toute la classe politique nationale, la situation politique de l’heure en insistant sur la nécessité de la révision de la liste électorale en demandant aux responsables des partis politiques légalement reconnus d’envoyer les noms des leurs devant siéger dans les commissions en tant qu’observateurs.

Les élections législatives sont maintenues pour cette année et vont se dérouler dans les conditions prévues par le cadre juridique en vigueur.

 

La Cour Constitutionnelle n’a-t-elle pas mis au grand jour la difficulté de son institution de statuer sur le cas de force majeur ? S’appuyant sur 3 aspects, à savoir le caractère imprévisible, insurmontable et irrésistible des événements dont l’impact peut modifier le fonctionnement de la société et des institutions républicaines.

 

Force restera somme toute, à la loi pour peu que les uns et les autres ne soient plus contraint de vouloir, à chaque fois, se tourner vers le Chef de l’Exécutif pour un arbitrage.

 

Source: Infos Gabon

 


 
 
 

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