Fédération P.D.G. République Fédérale d´Allemagne

Réprésentation du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne

posté le 25/10/11

Tunisie : vers une large victoire d'Ennahda

Le parti islamiste a annoncé qu'il devrait recueillir de 25 à 30 % des suffrages à l'élection d'une assemblée constituante.

 

Le parti islamiste Ennahda a annoncé lundi qu'il disposait d'une large avance aux premières élections libres de la Tunisie, alors que les résultats définitifs du vote pour une assemblée constituante devaient être annoncés officiellement mardi. Ennahda a aussi lancé un message pour "rassurer" les partenaires économiques du pays. "Nous voulons rassurer nos partenaires économiques et commerciaux, ainsi que tous les investisseurs : nous espérons très rapidement revenir à la stabilité et à des conditions favorables à l'investissement", a déclaré à la presse Abdelhamid Jlassi, directeur du bureau exécutif du parti islamiste.

 

"Les priorités de la Tunisie sont claires : c'est la stabilité et les conditions pour vivre dans la dignité, ainsi que la construction d'institutions démocratiques", a-t-il souligné. "Nous essayerons d'aboutir à une alliance politique stable au sein de l'assemblée constituante", a-t-il répété, en évaluant le score de son parti "à plus de 25, 30 %". "Nous avons eu le plus grand nombre de suffrages", a-t-il affirmé. Auparavant, un autre responsable avait indiqué sous le couvert de l'anonymat que le parti allait "obtenir entre 60 et 65 sièges dans l'assemblée constituante", qui comptera 217 membres.

 

La moitié des sièges à l'étranger

 

Le parti islamiste dit avoir remporté au moins neuf des dix-huit sièges réservés aux Tunisiens résidant à l'étranger dans l'assemblée qui sera chargée de rédiger une nouvelle Constitution et de désigner un nouvel exécutif jusqu'aux prochaines élections générales. "C'est clair qu'Ennahda devance tout le monde dans la grande majorité des circonscriptions", a reconnu Adel Chaouch, membre du bureau politique d'Ettajdid (gauche).

 

Le mouvement Ettakatol (gauche) de Mustapha Ben Jaafar et le Congrès pour la République (CPR, gauche nationaliste) de Moncef Marzouki se disputent la deuxième place au scrutin, selon les estimations données par ces partis.

 

"Nous aurons autour de 15 % des suffrages, ce qui se traduirait par un minimum de 30 sièges selon des statistiques à l'échelle nationale", a déclaré Khalil Zaouia, numéro deux d'Ettakatol. "On espère être les seconds", a déclaré Moncef Marzouki, dirigeant du CPR crédité de 15 à 16 % des suffrages, selon des estimations concordantes. "Ce qui compte, c'est que nous avons désormais une véritable cartographie politique. Le peuple tunisien a assigné à chacun son poids", a déclaré l'ancien opposant en exil.

 

La gauche derrière

 

"Ennahda est certes majoritaire, mais nous sommes deux entités démocratiques Ettakatol et CPR, très faibles au départ, mais qui (...) se retrouvent avec une stature nationale pour construire la vie politique, instaurer une modernité rationnelle dans un pays arabo-musulman", a dit Khalil Zaouia. Le Parti démocrate progressiste (PDP, centre gauche), qui était donné par les sondages en seconde position, a pris acte de sa défaite.

 

"Les tendances sont très claires. Le PDP est mal positionné. C'est la décision du peuple tunisien. Je m'incline devant ce choix. Je félicite ceux qui ont obtenu l'approbation du peuple tunisien", a déclaré, lundi, sa secrétaire générale Maya Jribi, se rangeant dans le "camp de l'opposition".

 

"Nous serons toujours là pour défendre une Tunisie moderne, prospère et modérée", a poursuivi la chef du parti, qui avait axé sa campagne sur son opposition au parti islamiste. La commission électorale (Isie) devait normalement annoncer mardi les résultats définitifs du scrutin historique de la veille, marqué par une mobilisation massive. "Nous sommes patients, nous avons attendu cinquante ans, nous pouvons attendre encore 24 heures. C'est tout à fait logique", résumait en souriant Houcine, interrogé lundi matin sur l'avenue Bourguiba à Tunis.

 

Très forte participation

 

Neuf mois après le départ de l'ex-président Zine el-Abidine Ben Ali sous la pression populaire, plus de 7 millions d'électeurs tunisiens étaient appelés dimanche à élire une assemblée constituante. Une chose est certaine, la très forte mobilisation des électeurs tunisiens pour cette élection historique, organisée neuf mois après la révolution qui a déclenché le Printemps arabe.

 

La participation "a dépassé toutes les attentes", selon l'Isie, qui n'a cependant pas fourni de chiffres globaux. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon a félicité, lundi, la Tunisie "pour la façon pacifique et ordonnée" dont s'est déroulé le scrutin.

 

La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton, a salué les premières élections libres de Tunisie qui marquent, selon elle, "le commencement d'une nouvelle ère". La veille, le président américain Barack Obama et plusieurs capitales européennes avaient salué la mobilisation des électeurs et le bon déroulement du vote.

 

Source: Le Point/ France

 


 
 
posté le 24/10/11

Allemagne : la fin du nucléaire passe par le charbon

L'hiver qui commence à se faire sentir en Allemagne prend, cette année, un relief particulier. Huit des dix-huit réacteurs nucléaires étant arrêtés depuis le printemps, l'Allemagne pourrait être menacée de black-out ou être contrainte d'importer massivement de l'électricité. Ce sera le premier test que devra affronter ce pays qui, après la catastrophe de Fukushima, au Japon, a décidé d'abandonner le nucléaire en 2022.

 

D'ici là, il y aura bien d'autres obstacles à franchir. La loi votée (à la quasi-unanimité) le 30 juin sur la sortie du nucléaire n'est qu'un début. "Le vrai travail commence maintenant", a reconnu Philipp Rösler, ministre de l'économie et des technologies, devant le Parlement, le 19 octobre.

 

Le ministre s'est fixé trois objectifs : "Assurer la sécurité des approvisionnements et protéger l'environnement, le tout dans des conditions financières acceptables." A ses côtés, Norbert Röttgen, le ministre de l'environnement, a affirmé des priorités légèrement différentes : "Les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique sont les deux piliers de la nouvelle politique énergétique", a-t-il dit.

 

Ces deux approches résument le débat allemand. Maintenant que la décision d'arrêter le nucléaire est prise (un neuvième réacteur va être arrêté en 2015, un en 2017, un en 2019 et les six derniers en 2021 et 2022), les financiers sont surtout soucieux d'assurer la sécurité des approvisionnements, quitte à investir dans des centrales à énergies fossiles classiques. Pour ceux qui sont surtout sensibles aux questions d'environnement, il ne suffit pas de sortir du nucléaire, il faut entrer, enfin, dans l'ère des énergies renouvelables. Tels sont d'ailleurs les objectifs de la loi : leur part doit passer de 17 % à 35 % en 2020 et 80 % en 2050.

 

Malgré la fermeture des centrales nucléaires, qui assuraient, au printemps, 22 % de la production d'électricité du pays, l'Allemagne affirme qu'elle réduira ses émissions de CO2. En 2020, celles-ci devraient être de 40 % inférieures à ce qu'elles étaient en 1990. La tâche est immense : il faut notamment développer l'énergie éolienne dans le nord du pays, construire des réseaux à haute tension pour la transporter dans le sud, là où sont les industries, prévoir des centrales classiques pour les jours où il n'y a ni vent ni soleil et investir dans l'isolation du parc immobilier.

 

Les six mois qui viennent de s'écouler n'ont été qu'à moitié convaincants. La Commerzbank affirme que c'est notamment en raison des importations d'électricité au second trimestre que la croissance a été si faible (+ 0,1 %). L'Association des industries électro-intensives (VIK) s'est plainte, le 19 octobre, que le prix de l'électricité avait augmenté et que sa qualité était moindre. En 2012, ses adhérents devraient voir leur facture croître de 9 %. Malgré tout, le pays a supporté la fermeture de huit réacteurs et la part des énergies renouvelables est passée de 17 % à 20,8 % de l'électricité produite.

 

Combien va coûter la révolution énergétique en cours ? Nul ne le sait. Seule certitude : l'agence de l'énergie estime qu'il faudra développer 4 500 km de lignes électriques à haute tension dont le coût oscille entre 22 et 29 milliards d'euros. Pour réduire de dix à quatre ans la construction de ces lignes, le gouvernement a limité le pouvoir des Etats-régions avec un argument à la clé : tout kilomètre de ligne à haute tension donnera lieu à un dédommagement de 40 000 euros à la commune concernée.

 

Pour financer les réseaux et la transition énergétique, l'Allemagne dispose de deux outils principaux. Le premier est le fonds climat-énergie, qui va être alimenté par la vente aux enchères des quotas de CO2 octroyés aux industriels et dont on attend environ 3 milliards d'euros par an. Le second est le prélèvement "énergies nouvelles" sur la facture d'électricité payée par les particuliers - la plupart des entreprises en sont exonérées.

 

En 2010, ce prélèvement qui permet aux producteurs d'énergies renouvelables de vendre leur électricité à un prix supérieur à celui du marché s'est élevé à 13 milliards d'euros. En 2012, il se traduira par un prélèvement de 3,59 centimes par kilowattheure (kWh) consommé, en légère hausse par rapport à 2011. En moyenne, ce prélèvement coûte 120 euros par an à un ménage (14 % de sa facture).

 

Alors que le mégawattheure coûte, en Allemagne, environ 60 euros, ce prix s'élève à 90 euros pour l'énergie éolienne, 150 pour l'éolien offshore et 370 pour le solaire. Les énergies renouvelables ont un coût mais les Allemands l'acceptent : selon un sondage réalisé par TNS Infratest, 79 % d'entre eux jugent le prélèvement "énergies nouvelles" "raisonnable". Seuls 15 % le jugent "trop élevé".

 

Malgré tout, pour assurer la transition énergétique, le gouvernement prévoit également de subventionner de nouvelles centrales au gaz mais aussi une dizaine de centrales au charbon très polluantes. Il estime les besoins à environ 10 000 mégawatts. Au grand dam des écologistes, 5 % du fonds climat-énergie (soit 150 millions d'euros) pourraient être utilisés pour subventionner jusqu'à 15 % de ces centrales. A condition que Bruxelles autorise ces aides auxquelles seuls les industriels qui possèdent moins de 5 % de parts de marché en Allemagne peuvent prétendre.

 

Principaux intéressés : les 900 régies municipales, mais aussi des producteurs étrangers comme EDF, GDF Suez, voire Gazprom. Avec la sortie du nucléaire, l'Allemagne vit une véritable révolution industrielle, suivie de près tant par les industriels occidentaux que par les financiers. En témoigne l'annonce en août par le fonds américain Blackstone d'un investissement de plus de 1 milliard d'euros dans un parc éolien en mer du Nord.

 

Source: Lemonde/France

 


 
 
posté le 24/10/11

Berlusconi, sous pression, s'attaque à la réforme des retraites

Le chef du gouvernement italien, sous pression de ses partenaires européens, a annoncé dimanche son intention de convoquer un conseil des ministres extraordinaire dès lundi pour réformer le système des retraites dans son pays. Le gouvernement italien avait dû abandonner fin août une mesure sur les retraites face à la colère de l'opinion publique et des syndicats.

"Demain je pense convoquer un conseil des ministres parce que je souhaite profiter de cette situation pour voir si on peut faire avancer des mesures que je n'ai pas réussi à mettre en œuvre jusqu'ici en raison de divergences au sein de la majorité", a déclaré M. Berlusconi à la presse à l'issue d'un sommet européen à Bruxelles. Il a précisé que ces mesures porteraient "surtout sur les retraites", laissant entendre qu'il pourrait relever l'âge de départ à 67 ans. "En Europe, lorsque nous avons parlé d'une gouvernance accrue de la zone euro, on a parlé d'un même âge pour la retraite. On a évoqué 67 ans", a-t-il dit.

 

"ENGAGEMENTS"

 

Le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy a prévenu de son côté, dans un message clairement à l'intention de l'Italie, que "certains" dirigeants européens devront "convaincre d'ici mercredi leurs collègues que leurs pays mettent pleinement en œuvre les mesures promises" pour redresser leurs finances publiques et réformer leurs économies. "Ils prendront des engagements", a-t-il assuré.

Les dirigeants européens "m'ont suggéré de confirmer publiquement les mesures adoptées et celles que nous entendons adopter", a confirmé Silvio Berlusconi. Il a toutefois assuré qu'il n'y avait "absolument pas de risque en Italie", pourtant dans la mire des agences de notation en raison de de son lourd endettement, qui atteint 120 % du PIB.

M. Berlusconi a eu des réunions séparées dimanche sur le sujet avec Herman Van Rompuy ainsi qu'avec le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel, qui l'ont rappelé à l'ordre par crainte de voir l'Italie, troisième économie de la zone euro, emportée par la crise de la dette. Selon Silvio Berlusconi, ils lui ont "personnellement conseillé" de mieux faire connaître la solidité de l'économie italienne. Il a une nouvelle fois accusé son opposition, qualifiée d'"anti-italienne" et relayée par "la presse de gauche", de diffuser une image négative de son pays.

 

"Nous avons adopté des mesures très sérieuses et courageuses en juillet et août", a-t-il argué, mesures qui permettront selon lui à l'Italie de commencer à réduire sa dette en 2013.

 

Source: Lemonde/France

 


 
 
posté le 23/10/11

Biya réélu président pour un 6e mandat

L'opposition avait rejeté par avance le résultat de la présidentielle, accusant le président au pouvoir depuis trente ans d'avoir verrouillé le système électoral. Paris parle d'un scrutin aux «conditions acceptables».

Paul Biya, 78 ans, au pouvoir depuis 1982 a été réélu président du Cameroun pour un sixième mandat avec 77,989% des suffrages. Le chef d'Etat sortant a obtenu 3.772.527 voix (77,989%) devant son opposant du Social Democratic Front (SDF) John Fru Ndi qui obtient 578.175 voix (10,712%). Le taux de participation, seul enjeu du scrutin, était en baisse. 65,82% contre 82,83% en 2004.


La Cour suprême du Cameroun s'était rassemblée vendredi dans un climat électrique pour proclamer le résultat de l'élection présidentielle du 9 octobre. Autour du bâtiment, de nombreux militaires et forces anti-émeutes étaient mobilisés. Le pouvoir craint les réactions que pourrait susciter cette nouvelle victoire du très contesté Paul Biya. L'opposition a annoncé qu'elle rejetait par avance les résultats.

Sept millions de Camerounais étaient théoriquement appelés à voter lors du scrutin à tour unique. Mais l'opposition, dont la Cour suprême a rejeté mercredi quinze recours en annulation, accuse le régime d'avoir verrouillé le système électoral en faveur du président sortant. Lundi, sept leaders de l'opposition dont le principal adversaire de Paul Biya, John Fru Ndi, ont signé une déclaration dénonçant une «mascarade électorale» et appelé le peuple «à venir massivement manifester».

Une position confortée par les États-Unis, qui estiment que le scrutin était entachée «d'irrégularités à tous les niveaux». L'ambassadeur Robert Jackson a critiqué «la façon dont les listes électorales ont été conçues et gérées, laissant libre cours aux votes multiples», ainsi que «le manque de formation des agents électoraux et d'éducation des électeurs concernant la manière de voter». Au passage, le diplomate a renvoyé l'opposition, qui présentait 22 candidats face au président sortant, à ses divisions : «Il y a lieu d'émettre des réserves quant au sérieux de cette opposition et des candidats (...) les partis d'opposition doivent s'unir s'ils veulent proposer une alternative crédible».

«Une des dictatures les plus archaïques du continent»

La France, au contraire, a jugé par la voix du ministre des Affaires étrangères Alain Juppé que les élections avaient eu «lieu dans des conditions acceptables». Paris perpétue ainsi une longue tradition de soutien au président Biya, malgré les critiques qui pèsent sur son régime jugé par de nombreux observateurs autoritaire, répressif et corrompu.


Le pays apparaît dans les dernières places du classement annuel de l'ONG Transparency International et le président lui-même fait l'objet d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris en 2010 pour «recel de détournements de fonds publics», dans l'affaire des «Biens mal acquis». «À contretemps de l'Histoire et des promesses hypocrites faites après les révolutions tunisienne et égyptienne, la diplomatie française se compromet à nouveau avec une des dictatures les plus archaïques du continent», accuse l'association Survie, qui lutte contre les réseaux de la «Françafrique».

«Pourquoi ce serait la position des États-Unis qui serait la bonne et la nôtre qui serait divagante ? La France a pris cette position parce qu'elle s'est basée très exactement sur les conclusions d'une commission internationale d'observateurs», s'est défendu Alain Juppé. L'équipe du Commonwealth a en effet estimé que le scrutin avait été exempt de «coercition», en soulignant tout de même qu'il y avait un «bon nombre de plaintes» sur l'organisation.

Dans le contexte tendu de cette proclamation de résultat, l'Église a appelé la population à ne pas manifester malgré les appels en ce sens de l'opposition. Le pouvoir, lui, a pris les devants : dans la capitale économique, Douala, toute manifestation a été interdite. Les mesures de sécurité ont également été renforcées dans les autres villes du pays pour faire face à d'éventuelles contestations.


Source: Le Figaro/ France

 


 
 
posté le 23/10/11

Un Forum International sur les Opportunités d’Affaires au Gabon (FINOA)

Après l’édition 2010 qui s’est tenue à Libreville en présence de près de 100 participants, la société International Pro Business « IPB » organise pour la deuxième fois consécutive, le Forum International sur les Opportunités d’Affaires au Gabon « FINOA » à Port-Gentil dans la Province de l’Ogooué Maritime (ouest), le 10 décembre 2011.


A en croire les organisateurs, le programme de la rencontre prévoit la présentation des opportunités d’affaires au Gabon (Gabon vert, Gabon industriel, Gabon des services ) ; la présentation des opportunités d’affaires de la ville de Port-Gentil ; la présentation des opportunités d’affaires de la zone franche de l’Ile MANDJI ; la présentation des projets d’investissements privés (intermédiation) ; les questions sur le financement du secteur privé par les banques locales ; la promotion des entreprises et de leurs produits (sur enregistrement au préalable) ; la communication sur le thème « La culture d’entreprise et quel entrepreneur pour l’Afrique » ; le business Networking Event & signature des intentions de partenariats ; le forum de l’emploi, soirée réseautage et cérémonie des récompenses.

 

Les objectifs sont, entre autres, participer à la promotion du secteur privé au Gabon ; participer au développement de la diversification de l’économie gabonaise ; promouvoir les entreprises locales et les inciter à saisir de nouvelles opportunités d’affaires ; inciter les promoteurs locaux à se constituer en réseaux solidaires d’entrepreneurs ; motiver par le forum, la signature de nombreux partenariats en affaires entre promoteurs ; inciter l’arrivée supplémentaire au Gabon, de promoteurs étrangers ; former les promoteurs sur les notions de gestion, de management et de culture entrepreneuriale.

 

Ceux qui peuvent participer à ce forum, sont notamment, les promoteurs de tous les secteurs d’activité ; les curieux ou les hésitants en entrepreneuriat ; les chercheurs d’emploi inscrits à l’ONE (gratuit pour eux) ; les hommes politiques qui le souhaitent.

 

Pour participer, il faudra remplir un formulaire et le renvoyer accompagné du logo de votre société en JPG ; faire parvenir une petite biographie de votre personne avec votre photo (portrait); payer vos frais de participation avant la date du forum pour recevoir le programme détaillé, et faire partie du magazine dédié au forum.

 

Pour avoir un formulaire d’inscription et connaître les modalités de participation, envoyez un mail à : ipbforums@yahoo.fr ou contactez directement les organisateurs aux numéros ci-après : +241 03 31 61 61 / +241 05 49 61 61 / +241 06 31 87 31.

 

D’autres informations sont fournies par la société à via son site web : http://www.ipbgabon.com

 

Source: Infos gabon

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article