Fédération P.D.G. République Fédérale d´Allemagne

Réprésentation du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne

posté le 02/02/12

La médecine française a elle aussi ses sans-papiers !

En France, 4 000 médecins diplômés en dehors de l'Union européenne exercent dans les hôpitaux publics. Sans statut, ni reconnaissance.

 

En France, ils sont 4 000, majoritairement de nationalité française. Ils viennent d'Algérie, du Sénégal, du Canada, de Russie ou encore du Liban. Ils exercent la médecine dans les hôpitaux publics hexagonaux depuis des années. Ils assurent la prise en charge des patients, effectuent des consultations, se rendent au bloc opératoire et réalisent gardes et autres astreintes. Mais au regard de la loi française, ces 4 000 "médecins de fortune" ne sont pas réellement des "docteurs". Pas en raison de leur nationalité. À cause de celle de leurs diplômes.

 

Ce sont les PADHUE, les praticiens à diplôme hors Union européenne. Leur particularité : ils pourraient exercer librement la médecine dans leur pays d'origine puisqu'ils en sont diplômés. Seulement la France ne reconnaît pas leur diplôme. Du coup, le libre exercice de la médecine en France leur est interdit. Concrètement, les PADHUE ne peuvent aspirer qu'à des postes au sein d'établissements publics de santé. Pourtant, leur importance dans le système français de santé est capitale.

 

"Je ne connais pas un établissement hospitalier qui pourrait se passer de ses PADHUE. Ils sont incontournables pour le bon fonctionnement du service public de santé français", explique Hocine Saal, secrétaire général du syndicat national des PADHUE. Un constat largement partagé par Patrick Pelloux, président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF) : "Enlevez les PADHUE et il faudra fermer tous les hôpitaux qui disposent de services de permanence de soins. Au Samu, aux urgences, en chirurgie ou en neurochirurgie, les PADHUE sont légion. Ils assurent les gardes, les astreintes et travaillent les jours fériés. Ils sont indispensables."

 

Précarité

Alors si dans les faits les PADHUE exercent effectivement la médecine, d'un point de vue administratif, ce ne sont pas des médecins. Du moins, ils ne répondent pas à l'appellation "docteur en médecine". Pour prétendre à cette consécration synonyme d'inscription au tableau de l'Ordre des médecins, les PADHUE doivent se soumettre à un long processus d'évaluation dont l'étape principale passe par la validation de la PAE, la procédure d'autorisation d'exercice. Sans cela, les PADHUE ne peuvent espérer aucune évolution, ni de leur carrière ni de leur salaire. D'ailleurs, pour les mêmes tâches exercées, la rémunération des praticiens à diplôme hors Union européenne est moitié moins importante que celle de leurs confrères diplômés en France. Une précarité certaine qui dure depuis de nombreuses années.

 

Depuis les sept années qu'elle exerce en France, Widad Abdi a pu mesurer l'ampleur du problème. À 34 ans, elle pratique l'anesthésie depuis plus de dix ans : "J'ai toujours eu le même statut. Du coup, j'ai le même salaire depuis mon arrivée en France, c'est-à-dire celui des internes à leur tout début. Sauf qu'eux, ils ont connu une évolution traditionnelle : je les ai vus prendre du galon, devenir chefs de clinique ou praticiens hospitaliers, avec les responsabilités et les salaires qui vont avec. Moi je n'ai pas bougé."

 

La raison de cette différence de traitement : à l'heure de la mondialisation de la médecine, la reconnaissance des diplômes étrangers n'est pas automatique. Seuls les ressortissants communautaires (membres de l'Union européenne et de l'Espace économique européen) voient leurs diplômes validés quasi automatiquement. Pour les autres, il faut en passer par la PAE. La communauté médicale souhaite par là préserver le niveau de son système de santé en s'assurant que "les nouveaux entrants ont le niveau". Sur le fond, personne ne conteste l'existence d'un système d'évaluation. "La France ne peut pas se permettre de faire n'importe quoi en faisant venir n'importe qui. Il faut maintenir le niveau d'excellence de la médecine française, c'est une évidence, personne ne revient sur ce point", tient à préciser Hocine Saal.

 

La PAE en question

Ce qui est moins unanimement admis, c'est la forme de la PAE, jugée nébuleuse et aléatoire par certains. Elle soulève certains points d'interrogation et parfois même des points d'exclamation, à l'instar du docteur Patrick Pelloux qui pointe du doigt ce système : "C'est ridicule ! La PAE ne veut rien dire. Elle n'est pas adaptée à la réalité du terrain."

 

Car concrètement, les praticiens à diplômes hors Union européenne doivent d'abord se soumettre à un concours drastique (en 2009, selon le Centre national de gestion des praticiens hospitaliers, 165 postes étaient disponibles pour 1 078 candidats) avant de passer devant une commission composée de représentants de la communauté médicale. Cet aréopage rendra ensuite un avis définitif sur le praticien, lui autorisant ou non le libre exercice de la médecine en France.

 

Ce processus est très lourd et rares sont les élus. Widad Abdi est l'auteur de plusieurs publications renommées dans sa discipline, l'anesthésie, et pourtant : "En 2010, en anesthésie, nous étions environ 300 candidats pour 10 à 15 postes. À chaque fois, j'ai bien plus de la moyenne et je n'ai jamais été reçue. D'autant que je n'ai jamais compris les grilles de notation des examinateurs. Sur deux années, pour la même matière, j'ai eu plus de 6 points d'écart entre les deux notes."

 

"Ce dispositif est beaucoup trop lourd. Il y a par exemple des épreuves de connaissances du français ! Pourquoi ne pas faire passer des épreuves sportives aussi tant qu'on y est ? Il faut arrêter avec l'hypocrisie. Si ces personnes-là exercent depuis des années, c'est bien qu'elles sont compétentes ! Sinon personne dans le monde médical ne les ferait travailler", s'insurge Patrick Pelloux.

 

Compétences

Il apparaît pourtant difficile d'assurer que les 4 000 PADHUE soient tous du même niveau. Certaines voix s'élèvent d'ailleurs contre ce postulat. "On ne peut présager de rien. L'hypocrisie, c'est aussi de fermer les yeux sur la compétence véritable des PADHUE sous prétexte qu'ils rendent des services à certains hôpitaux, tempère le professeur Benoît Schlemmer, vice-président de la Conférence des doyens des facultés de médecine.

 

Car dans les zones géographiques qui pâtissent d'une faible démographie médicale, les PADHUE incarnent effectivement une solution toute trouvée pour les hôpitaux de petite et moyenne taille. Par exemple, dans l'Orne, à l'hôpital d'Argentan, 40 % des spécialistes sont des PADHUE tandis qu'ils représentent plus d'un tiers des médecins au centre psychothérapique d'Alençon.

 

"Le système hospitalier fonctionne cahin-caha. Les PADHUE assurent des fonctions que d'autres ne veulent pas forcément faire et, en parallèle, les hôpitaux français ont un énorme besoin en médecins. Avec la PAE, ce n'est pas l'idéal, mais on se dirige vers un système plus juste et moins hypocrite", précise Benoît Schlemmer.

 

Urgence de la situation

C'est un texte voté - dans l'urgence - qui va permettre de donner une bouffée d'oxygène aux PADHUE. Car, en plus de la polémique sur la PAE, c'est un tout autre problème dont se saisit la communauté médicale : le départ imminent de tous les PADHUE de France. Le Parlement a définitivement adopté le 24 janvier dernier une loi sans laquelle tous les praticiens à diplôme hors Union européenne n'ayant pas validé leur PAE au 31 décembre 2011 se seraient vus frappés d'interdiction d'exercice de la médecine sur le sol français. En tout, 4 000 praticiens à diplôme hors Union européenne se seraient retrouvés dans l'illégalité la plus totale à compter du 1er janvier 2012 et auraient dû quitter la France pour exercer la médecine dans leur "pays de diplôme".

 

"On ne pouvait pas accepter que tous les PADHUE ne puissent plus exercer la médecine alors que la plupart sont là depuis des années. La FHF (Fédération hospitalière de France, NDLR) est d'ailleurs montée au créneau pour alerter les autorités ministérielles. Il a fallu mettre en place une procédure d'urgence, mais à présent, le processus est plus juste même s'il faut encore attendre les modalités d'application", souligne Cédric Arcos, directeur de cabinet à la FHF, porte-parole des établissements publics de santé.

 

Dorénavant, les praticiens à diplômes hors Union européenne recrutés en France entre 2004 et 2010 ont jusqu'à fin 2016 pour valider leur PAE. Mais pas seulement. Nouveauté de taille : les PADHUE peuvent désormais passer un examen et non plus le concours drastique redouté par tous. La moyenne devient le seul obstacle. Alors même s'il faut encore attendre la publication des décrets d'application pour effacer toutes les préoccupations, une porte s'ouvre avec cette loi pour les 4 000 praticiens à diplôme hors Union européenne qui exercent la médecine dans les hôpitaux français depuis 2004. Celle de faire reconnaitre leur diplôme et leur qualité de médecin. En espérant que tout puisse enfin rentrer dans l'ordre. Et les PADHUE aussi...

 

Source: Le Point/France

 


 
 
posté le 28/01/12

Histoire de l'homme : nous sommes tous des Arabes !

Après sa sortie d'Afrique, l'espèce humaine a fait une étape dans la péninsule arabique.

Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d'ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l'humanité aurait donc fait une étape dans l'Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C'est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s'était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.

 

Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d'un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter.

 

Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l'ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d'individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d'années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l'être. L'étude est parue dans American Journal of Human Genetics.

 

Éden Arabie

Voilà donc comment il faut réécrire l'histoire de l'humanité : après avoir surgi il y a quelque 200 000 ans en Afrique de l'Est, l'homme moderne (homo sapiens) a commencé par se répandre dans toute l'Afrique, se fragmentant en de nombreuses populations. La vie était belle et la nourriture largement disponible jusqu'au jour où une tribu s'est mise en tête d'aller voir si le soleil ne brillait pas davantage ailleurs.

 

Elle a donc profité d'une baisse des eaux pour franchir la mer Rouge et débarquer sur la péninsule arabique. Jusqu'ici, on pensait que le premier passage avait dû avoir lieu, entre - 70 000 et - 40 000 ans. Mais la découverte d'outils façonnés par l'homme moderne datant de 106 000 ans repousse donc la conquête d'au moins 30 000 ans !

 

On a même trouvé le lieu de débarquement, dans le sultanat d'Oman. Il faut dire qu'à l'époque le climat arabique était humide : à la place d'un désert les nouveaux arrivants ont trouvé un paradis terrestre constitué de grandes prairies. L'occupation de ce nouvel Éden aurait duré plusieurs millénaires avant que l'homme ne poursuive sa conquête du monde. D'abord en empruntant la route du Sud-Est asiatique s'achevant en Australie, puis celle de l'est jusqu'au Japon, puis enfin la route du Nord, vers le Proche-Orient, puis l'Europe atteinte voilà environ 40 000 ans.

 

Des Indiens dans l'Altaï

L'Amérique est le dernier continent conquis. Mais là encore, il y a du nouveau. Et du lourd ! Grâce à de nouvelles confidences de l'indic mitochondrial, des chercheurs de l'université de Pennsylvanie ont identifié la terre d'origine des Indiens d'Amérique. Ne cherchez pas, vous ne pourriez pas trouver ! Il s'agit de l'Altaï. C'est une région montagneuse au coeur du continent eurasien, là où se rencontrent la Chine, la Mongolie, la Russie et le Kazakhstan. Le grand départ aurait eu lieu voilà 15 000 à 20 000 ans.

 

Quelques dizaines ou centaines d'individus auraient pris la route du nord-est. Après de nombreuses générations, leurs descendants auraient fini par atteindre le détroit de Béring qu'ils auraient traversé en une ou plusieurs fois lors des glaciations, puis ils auraient descendu tout le continent américain. La découverte récente, par des chercheurs de l'université du Texas, d'objets façonnés par l'homme dans l'État de Washington datant de 13 800 ans conforte cette hypothèse.

 

Depuis sa venue au monde dans un petit bled africain, l'homme n'a cessé d'avoir la bougeotte. Les migrations font partie de sa nature. L'Europe et encore plus la France, située à son extrémité ouest, n'ont pas arrêté d'être enrichies par des vagues d'immigrants. Il n'y a pas de raison que cela cesse...

 

Source: Le Point/France

 


 
 
posté le 28/01/12

Sénéga: la candidature validée de Wade déclenche une flambée de violences

La validation vendredi soir 27 janvier par le Conseil constitutionnel de la candidature du chef de l'Etat sénégalais Abdoulaye Wade à la présidentielle de février a provoqué une vague de violences dans plusieurs villes du Sénégal, dont sa capitale, Dakar, où un policier a été tué. L'opposition a appelé à "marcher sur le palais présidentiel dans les prochains jours" afin d'en "sortir Wade".

Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle du chanteur Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures place de l'Obélisque, à Dakar, à l'appel de l'opposition, ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque. Les jeunes, armés de barres de fer, ont également mis le feu à des pneus et des courses-poursuites se sont engagées dans les rues adjacentes au lieu de rassemblement.

 

Le commissaire de police Arona Sy, du commissariat central de Dakar, a déclaré à l'AFP qu'un policier avait été tué, sans donner les circonstances de cette mort qui s'est produite dans une rue du quartier de Colobane, près de la place de l'Obélisque. Les violences se sont poursuivies dans la nuit de vendredi à samedi dans plusieurs autres quartiers de Dakar.

 

Les télévisions privées ont montré des jeunes érigeant des barricades, brûlant des pneus et des planches sur plusieurs artères, ainsi que des échanges de projectiles et gaz lacrymogènes entre des manifestants, essentiellement des jeunes, et les forces de l'ordre anti-émeutes de police et de gendarmerie.

 

Des manifestations de colère étaient en cours également dans les provinces, d'après les médias locaux : notamment à Thiès selon l'Agence de presse sénégalaise (agence officielle), et à Kaolack (centre), Matam et Ourossogui (nord) selon la Télévision Futurs médias (télévision privée).

 

Le Mouvement du 23 juin (M23), coalition de partis politiques d'opposition et d'organisations de la société civile contestant la candidature du président Wade, a appelé samedi les Sénégalais à "marcher sur le palais" présidentiel pour l'en "déloger". Abdoul Aziz Diop, un des responsables du M23, a exhorté les Sénégalais "à se joindre au Mouvement pour organiser la reprise du territoire occupé par Abdoulaye Wade et ses sbires".

 

M. Wade a demandé à ses opposants d'arrêter "les manifestations d'humeur qui ne conduisent à rien", les accusant de contester la validité de sa candidature "sur des bases légères". Youssou Ndour a, lui, dénoncé un "coup de force" du président Wade, ajoutant : "Je suis candidat et je le reste", et précisant qu'il avait "48 heures pour un recours" contre la décision du Conseil.

 

La décision du Conseil constitutionnel sur la nouvelle candidature du président Wade, 85 ans, est jugée anticonstitutionnelle par l'opposition. Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une révision constitutionnelle en 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle révision constitutionnelle. Pour ses opposants, il se présente à un troisième mandat illégal, mais ses partisans affirment que le comptage doit se faire à partir de la première révision constitutionnelle de 2001 instituant le quinquennat et qu'il s'agit donc d'un second mandat conforme à la Constitution.

 

Source: Le Monde/France

 

 


 
 
posté le 28/01/12

Foot - CAN: le Gabon en quart

Alors qu'il était parvenu à revenir à 2-2 en fin de match, le Maroc s'est finalement incliné contre le Gabon (2-3). Les joueurs d'Eric Gerets sont éliminés de la CAN.

 

Un nouveau coup de tonnerre a frappé la CAN 2012. Après le Sénégal, une autre tête d'affiche a disparu de la compétition avant même le troisième match de poule : le Maroc battu par un incroyable Gabon (2-3), vendredi soir, à Libreville. En revenant à 2-2 par Kharja pendant le temps additionnel (90e), les joueurs d'Eric Gerets pensaient pourtant avoir au moins limité la casse à défaut de s'être vraiment relancés.
 
Une faute lourde de conséquence de Mehdi Benatia juste avant le coup de sifflet final a réduit à néant les minces espoirs qu'il leur restait. Sur le coup franc, Zita Mbanangoye a trouvé la lucarne de Lamyaghri (90e+7). Et fait (re)basculer tout un peuple dans l'euphorie. Pour la deuxième fois de leur histoire après 1996, les Panthères disputeront les quarts de finale de l'épreuve.
 

En décidant de lancer à la pause Cousin aux côtés d'Aubameyang et de Mouloungui, Rohr a joué le tout pour le tout. Sa prise de risque a payé.Adossé sur son banc de touche, le visage blême, Eric Gerets a semblé ne pas en revenir.  Au terme d'un match complètement fou et particulièrement tendu, son Maroc n'a pas su trouver les armes pour éteindre l'enthousiasme de Gabonais survoltés.

 

Alors qu'ils étaient pourtant parvenus à ouvrir le score par Kharja après une belle ouverture de Belhanda (24e), les Lions de l'Atlas ont beaucoup trop subi pour ne pas s'exposer à un retour d'Aubameyang et ses équipiers. Après plusieurs alertes sur la cage de Lamyaghri (26e, 38e, 50e, 56e, 60e, 75e), ils ont logiquement craqué sur un mauvais renvoi dont a profité Aubameyang (77e). Moins prévisible : le but du 2-1 inscrit par Daniel Cousin (79e) seulement deux minutes après l'égalisation du Stéphanois.

La prise de risque de Gernot Rohr a donc payé. En décidant de lancer à la pause l'attaquant du FC Sapins aux côtés d'Aubameyang et de Mouloungui, l'ancien entraîneur de l'OGC Nice a joué le tout pour le tout. Mais plus que ses choix, il faut saluer le caractère de ses troupes qui n'ont jamais abdiqué. «On y a toujours cru, pouvait lâcher dans un sourire Aubameyang au coup de sifflet final. On a été très fort mentalement, c'est ce qui nous a permis de passer».

 

Qualifiés pour les quarts au même titre que la Tunisie, vainqueur un peu plus tôt du Niger (2-1), les Panthères se prennent désormais à rêver d'un premier sacre devant leur public. Aubameyang encore : «Par rapport à ce qu'on a démontré, on peut y croire. On va tout faire pour aller au bout». Aller au bout, l'ambition affichée... du Maroc avant le coup d'envoi de l'épreuve. Un sacré camouflet.

 

Source: L´Equipe/France

 

 


 
 
posté le 10/01/12

NOTE D´INFORMATION


 

SECRETARIAT EXECUTIF

FEDERATION P.D.G. EN REPUBLIQUE FEDERALE D´ALLEMAGNE


BUREAU FEDERAL

Décision n°/PDG/SE/FRFA/001/10/01/2012

 

NOTE D´INFORMATION AUX MILLITANTS ET SYMPATHISANTS DU P.D.G.

 

Il est porté à la connaissance des militants et sympathisants du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne: en vue du démarrage effectif des activités pour l´année 2012,  une réunion des membres du bureau fédéral élargie aux responsables des sections se tiendra le samedi 14 janvier 2012 sur skype.

 

L´ordre du jour est le suivant:

 

 

1.     Communication du camarade Secrétaire fédéral au sujet du forum des Fédérations PDG de la diaspora, prévu en mars 2012 à Libreville;

 

2.     Débats sur la contribution de la fédération PDG Allemagne à ses assises;

 

3.     Présélections des camarades qui prendront part au forum de Libreville;

 

4.     Bilan de l´année 2011;

 

5.     Perspectives pour l´année 2012;

 

6.     Divers.

 

 

Le camarade Secrétaire Fédéral,

 

Fait à Mannheim le 10.01.2012

 


Commentaires

 

1. claude-Junior  le 11-01-2012 à 10:52:54

À quelle heure la réunion est-elle sensée se tenir?

 
 
 
 

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