Fédération P.D.G. République Fédérale d´Allemagne

Réprésentation du Parti Démocratique Gabonais en Allemagne

posté le 06/09/11

51 dossiers de candidature enregistrés pour la présidentielle au Cameroun

Cinquante-un (51) dossiers de candidature à l’élection présidentielle du 9 octobre prochain ont été enregistrés à la clôture de ses listes, dimanche à minuit, par Elections Cameroon (ELECAM), l’organe en charge de la gestion des scrutins et des opérations référendaires dans ce pays, a appris APA de source officielle.

En dehors des «poids lourds» que sont le président sortant, Paul Biya (Rassemblement démocratique du peuple camerounais, RDPC, au pouvoir), le leader de l’opposition John Fru Ndi (Front social démocratique, SDF, opposition parlementaire), Adamou Ndam Njoya (Union démocratique du Cameroun, UDC), la plupart des autres postulants apparaissent comme des candidats de seconde zone.

On y retrouve notamment Augustin Frédéric Kodock (Union des populations du Cameroun, UPC), Jean-Jacques Ekindi (Mouvement progressiste (MP), Garga Haman Adji (Alliance pour la démocratie et le développement, ADD) ou encore Bernard Acho Muna (Alliance des forces progressistes, AFP).

Dans cette liste figurent trois (3) femmes : Edith Kah Walla (Cameroon Peopel’s Party, CPP), Esther Dang (Branche pour la reconstruction intégrale du Cameroun, BRIC) et Lamartine Tchana (Dynamique conquérentelibérale des indomptables du Cameroun, DCLIC), mais aussi un candidat indépendant en la personne d’Ekwa Seme.

Les prochaines étapes, au conseil électoral d’ELECAM et avant le début de la campagne électorale proprement dite, prévoient le contrôle de conformité des dossiers de candidature dont la liste provisoire, susceptible de recours, sera publiée le 19 septembre prochain, ainsi que les opérations de consolidation des listes électorales issues du terrain.

Sur le dernier chapitre le directeur général des Elections, Mohaman Sani Taminou, interrogé par APA lundi, a indiqué que son organe, à la date du 26 août soit quatre (4) jours avant la clôture des opérations d’inscriptions sur le listes électorales, avait déjà enregistré plus de 7,4 millions d’électeurs potentiels avant la procédure de toilettage.

 

Source: Afrique Avenir
 


 
 
posté le 25/08/11

Gabon: scandale de la BEAC, Oyiba et Andzembe contre-attaquent

Jean-Pierre Oyiba et Philibert Andzembe veulent être blanchis des soupçons de corruption qui pesent sur eux et, surtout, obtenir de l'argent. Ils envisagent de demander des réparations à la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac).

 

L’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba, Jean-Pierre Oyiba, envisage d’attaquer en diffamation la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac). Depuis que Jean-Pierre Oyiba a démissionné, au lendemain du déclenchement du scandale qui a touché l’établissement, il ronge son frein et ne désespère pas de laver son honneur.

 

Licencié dans le cadre de la même affaire, l’ancien gouverneur Philibert Andzembe pourrait lui aussi attaquer l’institution monétaire pour obtenir des indemnités de licenciement. Les « parachutes dorés » accordés aux commissaires de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) l’auraient incité à sortir de sa retraite.


Source: Jeuneafrique
 


Commentaires

 

1. Nike TN  le 25-08-2011 à 18:27:01  (site)

Nike TN
il ronge son frein et ne désespère pas de laver son honneur.

2. Nike TN  le 25-08-2011 à 18:45:14  (site)

Nike TN
au lendemain du déclenchement du scandale qui a touché l’établissement, il ronge son frein et ne désespère pas de laver son honneur.

 
 
 
posté le 25/08/11

R.D.C: Ça bouge à l’Opposition, Tshisekedi désigné candidat commun !

C’est par acclamation que les membres de l’Opposition Politique ont plébiscité hier, mercredi 24 août 2011, à l’Eglise Notre Dame de Fatima, M. Etienne Tshisekedi wa Mulumba, candidat commun de l’Opposition Politique Congolaise à la présidentielle de novembre prochain. Cette désignation, a-t-on précisé, repose sur un critérium défini par le Bureau de la modération de l’Opposition intitulé : «le programme commun et accord de gouvernement», un texte adopté par l’ensemble de leaders des partis politiques de l’Opposition présents dans la salle.

 

Parmi ces critères, l’on retiendra notamment, la popularité ; l’intégrité morale ; le leadership incontesté et visionnaire ; la capacité de restaurer l’autorité de l’Etat ; être rassembleur, modérateur et patriote ; bénéficier d’une grande audience sur le plan international, etc. A l’annexe de ce ‘‘Programme’’ qui a été lu publiquement par le modérateur, se trouve un tableau dit de répartition des postes entre composantes de l’opposition, qui sera appliqué en tenant compte du poids politique de chaque parti ou regroupement politique à l’issue des législatives du 28 novembre 2011.

 

Etienne Tshisekedi qui sera investi pour ce faire dans les tout prochains jours, a été chargé d’ouvrir le dialogue avec les autres forces politiques qui n’ont pas pris part à sa désignation, entre autres, le MLC et l’UNC. Réunie hier, mercredi 24 août 2011, dans la salle de conférence de l’Eglise Notre Dame de Fatima pour, entre autres, désigner son Candidat Commun à la présidentielle de novembre prochain, l’Opposition politique congolaise, dans sa pluralité, a porté son choix sur la personne d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président National de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Udps.

 

Cette désignation, a-t-on précisé, repose sur un critérium défini par le Bureau de la modération de l’Opposition intitulé : «le programme commun et accord de gouvernement», un texte adopté par l’ensemble de leaders des partis politiques de l’Opposition présents dans la salle. Lequel Bureau est composé de MM. Lisanga Bonganga, Lumeya Dhu Maleghi et Serge Mayamba, respectivement modérateur, Rapporteur et co-rapporteur.

 

Parmi ces critères, l’on retiendra notamment, la popularité ; l’intégrité morale ; le leadership incontesté et visionnaire ; la capacité de restaurer l’autorité de l’Etat ; être rassembleur, modérateur et patriote ; bénéficier d’une grande audience sur le plan international, etc. A l’annexe de ce ‘‘Programme’’ qui a été lu publiquement par le modérateur, se trouve un tableau dit de répartition des postes entre composantes de l’opposition, qui sera appliqué en tenant compte du poids politique de chaque parti ou regroupement politique à l’issue des législatives du 28 novembre prochain.

 

Ainsi, le Premier Ministre, selon l’esprit des initiateurs de ce programme, sera issu du parti ou du regroupement majoritaire au Parlement et le souhait est qu’il ne soit pas du même parti politique que le Chef de l’Etat. Le président de l’Assemblée Nationale devra sortir, lui, du parti ayant obtenu le plus grand nombre de sièges. Quant au poste du président du Sénat, il sera accordé à la formation politique qui aura le plus grand nombre de sénateurs, en dehors des partis ou regroupements politiques ayant déjà casés leurs membres à la Présidence de la République et à la Primature.

 

Les autres postes restants seront répartis en tenant compte de l’accord électoral. Il convient de souligner ici que cette désignation s’est faite en l’absence des représentants de l’UNC et du MLC. Jean-Bertrand Ewanga et Jean-Lucien Busa, respectivement Secrétaire Général de l’UNC et Secrétaire Général Adjoint du MLC avaient choisi de quitter la salle au motif que l’ordre du jour de la rencontre de ce mercredi 24 août 2011 n’avait pas prévu la désignation du candidat commun de l’opposition.

 

Il était plutôt question, soutiennent-ils, de vider le contentieux avec la CENI, c’est-à-dire, répliquer aux éléments de réponse apportés par la CENI, en rapport avec les préalables posés par l’Opposition, en date du 12 août dernier. Au regard des contestations ci-devant évoquées, il a été demandé au Candidat désigné, en l’occurrence Etienne Tshisekedi, d’engager un dialogue avec tous ceux qui n’ont pas été associé à ce plébiscite.

 

Rappelons que bien avant la désignation du sphinx de Limete, l’Opposition comptait pas moins de neuf candidats. L’on citera, entre autres, Lisanga Bonganga, Joseph Olenghankoy, Vital Kamhere, Jean-Pierre Bemba, Mme Makombo, Elias Mulungula, Oscar Kashala, Kengo wa Dondo et Etienne Tshisekedi. La plupart se seraient désistés au profit du Président national de l’Udps.

 

Interrogé sur ce plébiscite, Franck Diongo a déclaré que c’est une réunion qui se termine avec la victoire du peuple congolais. M. Chalupa, un autre membre de la Dynamique Tshisekedi Président a abondé dans le même sens, en soutenant que le plébiscite de Tshisekedi est une réponse à la demande du peuple.

 

Quant à Jean-Baptiste Bomanza de l’Union pour la Nation, il en appelle au sens de l’unité et de consensus au sein de la famille politique et surtout de tout faire, pour éviter le triomphalisme et l’exclusion.

 

Source: La Prosperité/R.D.C.

 


 
 
posté le 24/08/11

À Djibouti, des mères impuissantes face à l'agonie de leur enfant

«j'ai vu d'autres bébés mourir. Je prie Dieu chaque minute pour qu'il sauve mon petit bébé», souffle Fatouma en regardant un de ses deux fils, Ali, souffrant de malnutrition aigüe.
Sous une chaleur de près de 50 degrés, dans les campagnes désolées de Djibouti, des mères assistent, souvent impuissantes, à l'agonie de leur enfant.

Le visage creusé, Fatouma est arrivée il y a deux jours au centre d'accueil de Balho, ville frontière avec l'Éthiopie, avec ses deux enfants en bas âge, Ali et Abdo.

Bien que Balho dispose d'installations (forage, site d'accueil des enfants malnourris) largement absentes dans les campagnes environnantes, le taux de mortalité infantile reste élevé.


«L'une des principales causes est l'eau. L'eau du forage est très salée et cela peut causer des problèmes sanitaires aux enfants et surtout aux femmes enceintes», explique Hassan Ismail, coordinateur du programme de nutrition pour le nord de Djibouti.

À 25 km de là, Garabtisan, perdu au bout d'une piste de rocaille basaltique, offre des scènes de désolation. Dans ce petit village de garnison, où population civile et militaire vivent côte à côte, les carcasses de chèvres jonchent le sol, d'autres bêtes, faméliques, tiennent à peine debout.

«C'est très difficile de survivre face à une telle sécheresse. Nous ne nous inquiétons plus pour nos cheptels, mais pour nos propres vies. Nous sommes en danger», s'alarme Moumina, une mère de famille qui a perdu son bébé la semaine dernière. «Il est mort de malnutrition», raconte-t-elle d'une voix cassée par l'émotion.

«Nous sommes très touchés par la sécheresse. Nos cheptels ont été décimés. Nous n'avons pas d'eau. Et nos enfants meurent de malnutrition», renchérit Houmed, un ancien du village.

À Djibouti, 146 000 personnes souffrent de la sécheresse selon le Programme alimentaire mondial (PAM), soit 18% des quelque 800.000 habitants de ce petit pays au bord de la Mer Rouge. 12 millions de personnes, dans toute la Corne de l'Afrique et l'Est du continent, sont dans la même situation, à la suite de plusieurs saisons sèches consécutives.

«La situation va vraisemblablement se dégrader» dans le pays, a prévenu l'agence onusienne du PAM, citant entre autres «la perte de 70 à 80% du bétail ces dernières années du fait de la maladie et de la faim, un pouvoir d'achat de moins de 0,68 dollar par personne et par jour, l'augmentation de 40 à 50% du prix de la farine depuis mai sur la plupart des marchés en raisons de la hausse des prix internationaux».

Au pied du mont Siyarou, Garabtisan, dans la région de Tadjourah, ne bénéficie ni de puits, ni d'école, ni de dispensaire, et aucune aide internationale n'y est visible.

Le village ne peut compter que sur deux bassins enterrés et une retenue d'eau, à peine humidifiée par la pluie de la nuit précédente. La population doit s'approvisionner en eau au forage de Balho.

Plus de 300 familles ont bénéficié il y a deux semaines d'une aide alimentaire d'urgence (sucre, farine, riz, huile, de dattes et de lait) de la part de la cellule gouvernementale de crise.

Mais en dépit de la mise en place il y a plus d'un mois d'une équipe médicale mobile, la malnutrition semble toujours gagner du terrain dans la région.

«Il y en a tous les jours, des morts», reconnaît Abdourazak Daoud, préfet de Tadjourah.

«Depuis avril la situation se détériore. Le nombre des enfants victimes de malnutrition sévère augmente tous les jours», explique Hassan Ismail.

Sur 65 enfants examinés, 30 souffrent de malnutrition, ajoute-t-il. «La sécheresse en est la première cause, mais il y a surtout le problème de l'( 'approvisionnement en) eau», explique-t-il.


Source: Cyberpresse

 


 
 
posté le 24/08/11

Niger: gestion du pouvoir, le partage déchire la majorité

Ça ne va pas bien au sein de la majorité au pouvoir. Entre les principaux alliés c’est la méfiance. De surcroît entre le Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya) et le Mouvement Démocratique Nigérien pour une Fédération Africaine (MODEN/FA Lumana/Africa). A l’interne même des partis c’est la même ambiance.

Aussi n’est-il pas rare d’entendre les militants de la majorité étaler leur linge sale dans la rue. Une ambiance qui présage d’un bouleversement au sein du paysage politique.

A la veille de son départ pour le pays de l’oncle Sam, le Président de la République, Issoufou Mahamadou aurait reçu des leaders de la majorité politique. Ceux seraient venus pour lui exposer le problème de nominations aux hautes fonctions de l’Etat, une façon de donner une suite à toutes les critiques exposées ouvertement çà et là par des militants de la majorité comme quoi le PNDS est en train de faire le partage de la hyène, la grosse part pour moi, le reste, débrouillez vous.


Le Président de la République, Issoufou Mahamadou aurait alors promis de rectifier le tir. Vrai ou faux, une chose est sûre, les récentes nominations intervenues lors du conseil des ministres de la semaine dernière ont fait monter l’adrénaline des nombreux militants de la majorité, principalement ceux du MODEN/FA Lumana/Africa de Hama Amadou.


Au Ministère de l’Education Nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales de Mme Ali Mariama Elhadji Ibrahim (une rose), sur 44 nominations, le PNDS aurait à lui tout seul totalisé 40 postes, laissant 3 au MODEN/FA Lumana/Africa et 1 à l’ANDP/Zaman Lahiya (Alliance Nigérienne pour la Démocratie et le Progrès).


Ce n’est pas fini. Dans les nominations au Ministère de l’Agriculture de Oua Saidou (une rose), ce serait la marée « guri ». Au niveau donc de base du MODEN/FA Lumana/Africa, on n’a plus honte d’agencer les grands mots comme « ou ça passe ou ça casse », allusion faite bien sûr à l’alliance. Mais dans la « nomenklatura » du parti de Hama Amadou, on préfère pour le moment observer un profil bas, se contentant de signaux envoyés par les militants de base.


Normal, dira l’autre, le parti de Hama Amadou n’est pas en bonne posture pour affronter frontalement le PNDS Tarayya. Le MODEN Lumana est aujourd’hui dans la peau de cette vieille lionne contée par le célèbre feu Djado Sékou, qui ne sait plus à quel saint se vouer. L’opposition garde encore en mémoire la trahison du départ de Lumana de l’ARN (Alliance pour la Réconciliation Nationale), moins de deux semaines seulement après sa constitution, tandis que le PNDS fort de cette volte face rocambolesque de son principal allié se demande quel crédit vaut une dynamique avec le parti au symbole de cheval ailé.


Voilà quelque peu l’ambiance au sein de la majorité au pouvoir, ou du moins entre le PNDS et le MODEN. Toutefois, le PNDS jouerait également au fameux slogan haoussa « Koura ga soro, ga ban soro », autrement dit « faire peur pour distiller sa peur ». Avec l’épineux dossier de l’impunité sur les bras, la délicate affaire dite de tentative de coup d’Etat, les rapports tendus avec le clan du chef de l’Etat sortant, Djibo Salou, les brûlants dossiers sociaux (cherté de la vie, hausse des prix des hydrocarbures et du mètre cube d’eau, suspension des salaires des enseignants admis au spécial A promotion 2010…), Issoufou Mahamadou en a trop pour oser s’aventurier dans une confrontation politique.


Aussi à l’interne du PNDS Tarayya, on ne manque pas d’entendre des bruissements de la guerre de clans pour le positionnement au sein de l’appareil de l’Etat. La nomination du Directeur Général de l’ORTN, un proche du Ministre d’Etat Bazoum Mohamed ne serait pas bien apprécié au sein du PNDS Tarayya, de même que celle l’épouse du Directeur de Cabinet du Président de la République, Hassoumi Massaoudou à la tête de la Coordination Intersectorielle de Lutte contre le Sida ou encore celle du Directeur Général des Douanes considéré comme un converti rose de la dernière heure. Pendant ce temps la majorité des militants du parti rose las d’entendre leur part commencent à taper du poing sur la table

Voilà quelque peu ce qui serait d’être géré en ce moment le Président de la République Issoufou Mahamadou, pris entre deux feux, la rage de son principal allié et les mécontentements de ses militants, lui qui a promis aux Nigériens une gouvernance sans partage mais seulement sur la base du mérite et de la compétence.


Source: Nigerdisapora

 

 


 
 
 

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